Cette maladie mentale que l’on peut nommer socialisme, et qui fleurit partout, il est de notre devoir d’en protéger les femmes qui par nature plus fragiles, physiquement, en les tenant éloignées de la chose politique... car quand la femme se mêle de politique, voilà ce que l’on obtient : cette caricature de l’engagement, cette perte de discernement... et au final des furies qui incendient la ville.