Mais dans la ville elle-même, l’oreille était éveillée à chaque pas par mille trilles différents, mille roucoulements et arpèges. En effet, peut-être en raison de l’aspect ingrat des volatiles locaux, les habitants de Solidor avaient développé une vraie passion pour les oiseaux exotiques, et chaque maison se devait de comporter au moins une cage, avec au moins un oiseau.