ZOO
couverture de l'album

Série : Magic knight rayearthTome : 1/6Éditeur : Media System

Scénario : ClampDessin : ClampTraducteur : Hana Kanehisa

Adaptateur : Erwan Lossois

Genres : Manga, Shojo

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga

Lors d'une sortie scolaire, Hikaru, Umi et Fû sont soudain transportées à Cefiro, un monde parallèle envahi de psycho-monstres. Pour retourner chez elles, ces collégiennes devront s'unir et délivrer la Princesse Emeraude, garante de l'harmonie et prisonnière du félon Zagato, que seules les trois "Magic Knights" peuvent vaincre ! Ce classique des CLAMP, arrivé en 1996 en France, fait des magical girls des figures héroïques mémorables. Cette nouvelle édition retraduite, en sens de lecture original, s'accompagne de bonus et d'illustrations couleur inédites issues des artbooks de la série.


La critique ZOO

Quel plaisir de retrouver Clamp après toutes ces années! Si vous aimez les Magical girls et la patte graphique de Clamp, vous allez adorer vous replonger dans cette nouvelle édition du premier tome de la série Magic knight Rayearth!

Hikaru, jeune fille fantasque et très naturelle, se retrouve aspirée dans un autre monde avec les filles les plus populaires du collège. Ensemble, elles ont eu l’honneur d’avoir été choisies par la princesse Emeraude pour sauver la planète Cefiro du terrible Zagato. Une fois initiées à leurs pouvoirs et pourvues de leurs armes, seront-elles prêtes à se lancer dans la bataille?


C’est assez plaisant de retrouver l’archétype du genre, à l’heure où la mode est aux magicals girls détournées. C’est une sorte de retour aux racines, qui peut être un excellent premier accès aux mangas et qui ravira les nostalgiques. L'œuvre de Clamp garde toute son originalité grâce à son traitement fort des personnages féminins et à l’accent un peu fantasy donnée à l’équipement des Knights. La drôlerie de certains dialogues et de certaines situations évite de trop cloisonner le public cible.

Niveau graphisme, les codes de la magical girl sont respectés, que ce soit dans la transformation en elle-même ou bien dans un élément ou une couleur attribuée à chaque héroïne. Le dessin est, comme d’habitude, magnifique, avec les passages en chibi traditionnels chez les autrices.


On retrouve les personnages habituels, antagonistes mystérieux vêtus de noir, mages un peu tournés en ridicule et même la mascotte aux longues oreilles. La recette fonctionne toujours à merveille. Nul doute que le multiverse à la Clamp nous réservera moults retournements de situation et une intrigue intéressante dans les six tomes de la série.

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