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Mausart - T2 : Mausart à Venise

couverture de l'album Mausart à Venise

Série : MausartTome : 2/2Éditeur : Delcourt

Scénario : Thierry JoorDessin : Gradimir Smudja

Collection : Jeunesse

Genres : Aventure

Public : Tout public

Prix : 14.50€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    3.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs3.0
    1 note pour 0 critique

Le synopsis de l'album Mausart à Venise

Mausart est désormais célèbre. Il termine une tournée de concerts en Italie et approche de Venise. Il y donnera le dernier récital de sa tournée avant de rentrer chez lui et rejoindre Constance, son amoureuse. Mausart arrive au moment du célèbre carnaval et va découvrir toute la splendeur de cette cité unique et la folie de ses festivités. Et tout cela grâce au crayon magique de Gradimir Smudja.


La critique ZOO sur l'album Mausart à Venise

Après Vienne où Antonio Salieri avait tenté d’abuser la Cour royale en s’appropriant les compositions et interprétations de Mausart, le souriceau prodige connaît très vite la gloire au-delà des frontières. Une série de concerts internationaux le mène jusqu’à Venise alors qu’elle se prépare à fêter son célèbre carnaval. Après un brillant premier opus, on embarque sans aucune hésitation en sa compagnie sur les canaux vénitiens pour en explorer toutes les splendeurs.

L’histoire est relatée par Mausart sous forme de lettre adressée à Constance, sa future épouse, restée à Vienne, qu’il a hâte de retrouver après cette dernière étape. À son arrivée, il est accueilli par le chat Lopar qui lui servira de guide tout au long de son séjour. Mausart découvrira tous les charmes de Sa Sérénissime en pleine effervescence carnavalesque. Une belle gitane l’emmènera même à la rencontre de Stradivarius dans son atelier. Un rêve, bien sûr : l’illustre luthier de Crémone n’était déjà plus de ce monde à l’époque de Mozart.

Si le scénario de Thierry Joor est un peu en-deçà de son premier récit avec une intrigue plutôt minimaliste, il permet néanmoins à Gradimir Smudja de laisser éclater son talent jusqu’à la moindre vignette. Et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il ne s’en prive pas !

Traversant la campagne vénitienne et ses paysages champêtres, la calèche emprunte un bac et nous voilà arrivés face au palais des doges, puis la place Saint-Marc. Avec la même minutie, la même précision qu’un Francesco Guardi ou Antonio Canaletto, Smudja nous décrit la cité lacustre sous ses aspects les plus resplendissants dans la folle ambiance carnavalesque, costumes et déguisements à l’appui. Son travail sur la couleur est à l’avenant, en un mot : splendide ! Un album qu’on ne se lasse pas de feuilleter.

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