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couverture de l'album Lucky Luke se recycle

Série : Lucky Luke vu par...Tome : 4/6Éditeur : Lucky Comics

Scénario : MawilDessin : Mawil

Genres : Aventure, Humour, Western

Public : Tout public

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis de l'album Lucky Luke se recycle

Devant une fois de plus jouer le bon samaritain, Lucky Luke se retrouve à l'improviste sur une selle de vélo, pédalant comme un fou pour aider Albert Obermann à mener sa création à bon port jusqu'à San Francisco. Le fabricant veut profiter d'une course cycliste locale pour séduire les citadins avec son tout nouveau deux-roues révolutionnaire. Mais le voyage de Lucky Luke ne sera pas de tout repos : bandits sans scrupule, ploucs bornés et Indiens méfiants n'auront de cesse de lui mettre des bâtons dans les roues et d'entraver la course de la modernité ! Sans oublier Jolly Jumper, qui n'apprécie guère que son cow-boy se recycle...


La critique ZOO sur l'album Lucky Luke se recycle

Quelques semaines après celui, magnifique, de Matthieu Bonhomme, Lucky Luke revient déjà ! Dans un style inattendu et avec un vélo à la place de son fidèle Jolly Jumper !



Goscinny avait déjà confronté notre cow- boy à des inventions modernes, mais cette fois, Lucky Luke prend sous sa protection l’inventeur du vélo moderne, plus rapide et pratique que les cycles qui envahissent déjà les villes de l’Est américain.
Il entame une nouvelle traversée de l’Ouest pour participer à une course de vitesse à San Francisco, mais son périple est semé d’embûches, car au-delà des dangers déjà évoqués dans la série (Indiens rétifs aux visages-pâles, désert et bisons), un puissant industriel a engagé les redoutables Smith et Wesson pour contrecarrer les plans de l’inventeur.


On retrouve Lucky Luke sur son fameux Jolly Jumper

On retrouve Lucky Luke sur son fameux Jolly Jumper
© Lucky Comics



L’intrigue s’inscrit dans la ligne générale de la série, mais le traitement graphique risque de déconcerter, car l’Allemand Mawil ne cherche absolument pas à imiter le trait de Morris ou d’Achdé. Son style moderne est plutôt proche de celui de Bouzard, et les personnages secondaires créés pour cet album sont particulièrement réussis. Beau- coup de rythme, d’action et d’humour, dans les dialogues comme dans les situations. Une surprise de taille, Mawil, déjà récompensé en Allemagne, n’est pas encore très connu en France.


Article publié dans le Mag ZOO N°81 Mai-Juin 2021







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