ZOO
couverture de l'album

Série : Blue PeriodTome : 8/14Éditeur : Pika

Scénario : Tsubasa YamaguchiDessin : Tsubasa YamaguchiTraducteur : Nathalie Lejeune

Adaptateur : Brigitte Dubois

Collection : Seinen

Genres : Manga, Seinen

Prix : 7.50€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    3.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis du manga

A peine entré à Geidai, Yatora déchante. Non seulement il se sent incompétent comparé aux autres étudiants, mais les professeurs lui font également comprendre qu'il doit commencer par oublier tout ce qu'il a appris jusqu'ici pour trouver sa propre identité artistique. Rien ne semble gagné pour Yatora, qui est aussi dépité qu'exaspéré... mais ouvert à la découverte d'autres centres d'intérêt !


DANS LES RÈGLES DE L'ART

Fascinante plongée dans l’art, son histoire et ses différentes techniques en suivant l’apprentissage d’un néophyte, Blue Period fait l’unanimité chez tous les publics !

Lycéen sociable, doué et populaire, Yatora Yaguchi réussit tout ce qu’il entreprend. Pourtant, il n’y a rien qui le motive vraiment. Il ressent sourdement la vacuité de son existence jusqu’à la découverte d’un tableau dans la salle d’arts plastiques du lycée dont la beauté le saisit. Totalement ignorant des arts en général, il découvre une nouvelle sensation : la peinture pourrait-elle combler le vide de sa vie ?

D’abord maladroitement, puis de plus en plus motivé, Yatora s’attèle à l’apprentissage des différentes techniques picturales jusqu’à se fixer un objectif himalayesque : entrer à Geidei, la prestigieuse université des Arts de Tokyo. Comme Look back (voirp. 10), ce manga artistique va, c’est sûr, déclencher des vocations !

Blue Period, Tome 8

Blue Period, Tome 8
 © Tsubasa Yamaguchi / Kodansha Ltd.

"ART" YOU READY ?

Elle-même diplômée de Geidei, Tsubasa Yamaguchi nous offre une fenêtre didactique sur le monde des arts et de la peinture, avec un titre clin d’oeil aux débuts de Picasso. En mettant son personnage, victime innocente du syndrome de Stendhal, sur les routes de la connaissance, elle nous embarque dans son monde et rend accessible les multiples facettes de la création à celles et ceux qui souhaiteraient se lancer. Malgré une foule d’informations, le récit de ce seinen reste très rythmé et s’intéresse évidemment aussi aux sentiments et relations entre les personnages. Une mention spéciale pour le graphisme, ultra léché, qui n’est pas pour rien dans la salve de récompenses déjà raflée par la série ! Alors l’art est-il inutile ou sert-il à remplir de beauté nos existences ? Vous avez 4 heures.

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