ZOO
couverture de l'album

Série : Dresseuses de monstresTome : 1/2Éditeur : Komikku éditions

Scénario : Mujirushi ShimazakiDessin : Mujirushi Shimazaki

Genres : Manga, Shonen

Public : De 9 à 17 ans

Prix : 7.90€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga

Cela fait maintenant une vingtaine d’années que des monstres d’origine inconnue, baptisés “Kaiju”, sont arrivés sur Terre. Depuis qu’elle a découvert que l’agressivité de ces monstres pouvait être calmée et maîtrisée grâce à la voix de certaines jeunes filles, l’espèce humaine a décidé d’essayer de cohabiter avec eux. L’école pour filles de Tatara propose ainsi comme option d’apprentissage le métier très particulier de « dresseuse » de Kaijus. Ion Hidaka, élève de sixième, a justement choisi de débuter ce cursus peu ordinaire. Élue dès la rentrée comme membre du club d’élevage , elle doit également s’occuper tous les jours du monstre gigantesque qui vit dans la forêt derrière l’établissement.  Bienvenue dans une école pas comme les autres !


La critique ZOO

La rentrée, c’est bien. La faire dans une école d’éleveuses de monstres : c’est mieux ! Dès le premier volume de Dresseuses de monstres, Mujirushi Shimazaki ouvre un diptyque pour les jeunes lecteurs épris d’aventures fantastiques et savantes !

© Mujirushi Shimazaki

1999. Partout sur Terre, les Kaijus, des créatures de formes et d’origine aussi inconnus que divers, font leur première apparition. Au lieu de les abattre, l’humanité décide les apprivoiser grâce des dresseuses, capables d’apaiser les monstres par leur chant. Un don si précieux que l’école de Tatara lui dédie une formation, où atterrit Ion Hidaka. Aux côtés de ses camarades Sora Misamaru et Tsukiko Miyama, la jeune collégienne va se découvrir une vocation pour laquelle elle ne pensait pas avoir l’étoffe.

S’initier au dressage de monstres est un véritable sacerdoce, surtout quand on doit se charger d’un reptile aussi géant que Bleu, le Kaiju de l’école. Quand il ne faut pas le laver ou le nourrir, il faut l’emmener en balade, installées sur son museau. Avec tendresse et humour, Mujirushi Shimazaki nous raconte les péripéties d’adolescentes dévouées à une nature mystérieuse, qu’on ne traite pas toujours avec patience et respect.

Un message poétique sur le rapport de l’Homme au monde, assorti d’une belle vision de l’amitié. A la fois drôles et dégourdies, les héroïnes sortent des sentiers battus grâce à leurs liens forgés par le courage et leur fascination envers les spécimens qui grouillent la cour de récré.

Le dessin, expressif et débordant de fraîcheur, épouse à merveille l’histoire. D’emblée, on est happé par le décor sauvage qui défie la science et la civilisation urbaine ainsi que l’âme d’un bestiaire sondé par le regard vaillant et candide d’une enfant.

Empreint d’une douce sagesse, ce premier volume de Dresseuses de Monstres, annonce une fin riche en découvertes monstrueusement adorables !

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