ZOO
couverture de l'album

Série : Dresseuses de monstresTome : 2/2Éditeur : Komikku éditions

Scénario : Mujirushi ShimazakiDessin : Mujirushi Shimazaki

Genres : Manga, Shonen

Public : De 9 à 17 ans

Prix : 7.90€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
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La critique ZOO

Aller à l’école est toujours aussi drôle et riche en aventures dans ce deuxième et dernier volume de Dresseuses de monstres. Pour clore ces chroniques collégiennes, Mujirushi Shimazaki fait le plein de découvertes scientifiques et humaines.

Au collège de Tatara, les apprenties dresseuses de monstres poursuivent leur formation. Tandis qu’Ion et Sora profitent de leur complicité avec Bleu, Koto et Tsukiko ouvrent peu à peu leur cœur à ces bêtes qu’elles étudient sans vraiment les connaître. Et nos quatre collégiennes ne sont pas au bout de leurs surprises, surtout depuis que de nouveaux Kaijus chamboulent le calme fragile de la ville.

© Mujirushi Shimazaki

Toujours aussi pittoresques, les nouvelles apparitions qui jalonnent ce volume nous amusent tout en nous plongeant dans de nouvelles intrigues. Car si les Kaijus impressionnent les humains par leur aura froide et énigmatique, on réalise au fil des pages que leur cœur n’est pas de pierre.

Sous l’imagination fantaisiste de Mujirushi Shimazaki, les créatures deviennent des idoles capables d’encapsuler les croyances et superstitions humaines. Et même si le shônen s’adresse de prime abord à une jeunesse pleine d’espoirs et de craintes, certains passages émouvront également les vieux lecteurs en proie aux regrets.

Alors que ces tours de passe-passe narratives nous immergent dans un flot de tendresse, le dessin ne perd rien de sa superbe, ni de sa poésie. Le trait rond fait grandir en douceur ses personnages, au même rythme que leur affection pour une nature toujours aussi curieuse et mystérieuse.

Savoir explorer l’inconnu avec empathie et tolérance : peut-être est-ce le message final de cette mini-série. Un peu comme un cri de cœur graphique, qui nous laisse pensif et rêveur en fermant ce deuxième et dernier volume.

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