ZOO

Issak - T1

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 4 critiques Presse

4.0

Le 8/3/2018

Déjà connu en France pour la partie visuelle de la série d'action Jusqu'à ce que la mort nous sépare, où il savait généralement assurer le spectacle malgré des coups de mou et de grosses inégalités dans le scénario de Hiroshi Takashige, le dessinateur Double-S est de retour aux éditions Ki-oon avec Issak, série lancée en 2017 au Japon dans le magazine Afternoon des éditions Kôdansha. Cette nouvelle oeuvre vient enrichir un peu plus le catalogue de titres plus ou moins historiques déjà assez conséquent de l'éditeur, et voit Double-S mettre en images un scénario [...]

3.0

Le 20/4/2018

En septembre 1620, le château de Fuchsburg, dans le Palatinat, voit affluer des dizaines de réfugiés fuyant les armées catholiques. Après avoir sauvé une jeune fille d’un viol, un homme à l’air étrange s’y présente, porteur d’une missive. Issak est un Japonais engagé comme mercenaire auprès des Hollandais. Alors que ses camarades ont déserté, il a poursuivi sa route pour s’acquitter d’une dette et d’une vengeance. L’arrivée concomitante des troupes espagnoles du redoutable général Spinola sonne le brans-le-bas de combat. La [...]

4.0

Le 20/9/2018

Début d’année, les éditions Ki-oon ont accueillis dans leur catalogue le titre Issak dont le dessinateur n’est autre que Double S déjà connu de nos contrées pour s’être chargé des graphismes du bien sympathique « jusqu’à ce que la mort nous sépare » paru également chez l’éditeur. L’artiste met cette fois-ci ses talents au service d’un récit historique mettant en lumière un fait précis et peu connu, celui où les guerriers japonais sont venus en Europe afin de vendre leurs services en tant que mercenaires lors des conflits qui ont fait rage au [...]

2.5

Le 20/9/2018

AU XVIIe siècle, en Allemagne, un japonais se bat en tant que mercenaire. Son but ? Retrouver et tuer celui qui s’en est pris à son maître. Une vengeance qui commence un peu mollement.

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