ZOO
couverture de l'album

Série : Liselotte et la forêt des sorcièresTome : 1/5Éditeur : Delcourt

Scénario : Natsuki TakayaDessin : Natsuki Takaya

Collection : Delcourt/Tonkam Shojo

Genres : Manga, Shojo

Public : De 12 à 17 ans

Prix : 6.99€

  • ZOO
    note Zoo1.5

    Scénario

    0.5

    Dessin

    3.0
  • note lecteurs2.0
    1 note pour 1 critique

Le synopsis du manga

On raconte qu'il existe une forêt peuplée de sorcières. C'est l'endroit qu'a choisi Liselotte pour s'installer avec ses deux domestiques. Un beau jour, la légende prend vie : la jeune fille croise le chemin d'une sorcière. Elle parvient à lui échapper grâce à l'intervention d'un garçon qui ressemble étrangement à un de ses vieux amis... Entre romance et conte de fées, le retour de l'auteure de Fruits Basket.


La critique ZOO

Liselotte, jeune princesse blonde écervelée, s’installe à la lisière d’une forêt où l’on dit que les sorcières pullulent. Elle va y croiser Engetsu, un jeune homme mystérieux qui ressemble étrangement à Enrich qu’elle aimait si fort… Tout est en place pour le lancement d’un shojo sirupeux et un peu longuet.

Liselotte  vit dans une cabane avec ses deux domestiques, la douce et souriante Anna et Alto, mignon dans son besoin de protéger sans cesse la princesse du haut de son 1m20. Les trois personnages peinent déjà à trouver une harmonie alors quand débarque Engetsu, sorti de nulle part pour arracher Liselotte des griffes d’une sorcière qui voulait lui faire manger une pomme, la galère est annoncée.

Un peu de magie, une créature kawaï assortis à un beau blond énigmatique et protecteur, l’entourage de Liselotte donne le ton. Si la princesse dégouline de niaiserie, les autres personnages ne sont pas en reste niveau bons sentiments. Heureusement que le passé mystérieux de tout ce petit monde est là pour donner un semblant d’intrigue à cette suite de moment trop choupinoux. L’apparition d’une sorcière peut aussi présager d’une piste intéressante pour la suite de l’histoire, si celle-ci est bien destinée à autre chose qu’à distribuer des pommes…

Le dessin, quoique très classique pour un shojo se déroulant dans un moyen âge germanique imaginaire, sauve un peu l’ensemble. De jolis effets entourent les blondinets que sont les personnages principaux. Les petits seconds rôles, tous bruns, ont aussi le droit à un petit cortège de mimiques, avec en prime le regard attendrissant du gentil serviteur qui ferait tout pour ses maîtres… La mise en cases est assez dynamique pour faire de chaque rebondissement un moment notable.

Ce premier tome ne devrait pas faire date dans l’histoire du manga mais promet des coups de théâtre à venir. Attendons avant de condamner totalement la série.


La bande annonce sur l'album

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Commentaire et critiques (1)

note de la critique de SuperMax

2.0

Un manga pour filles classique de chez classique ! Ce manga ne cherche pas du tout à surprendre le lectorat, mais plutôt à le divertir gentiment.

Le 27/07/2015 à 10h19