ZOO
couverture de l'album

Série : Please love me !Tome : 2/9Éditeur : Delcourt

Scénario : Aya NakaharaDessin : Aya Nakahara

Genres : Manga, Shojo

Public : À partir de 12 ans

Prix : 6.99€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.0

    Dessin

    2.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga

Michiko se retrouve, à 29 ans, dans une situation bien délicate. Sa société vient de faire faillite et c'est sans le moindre revenu qu'elle continue d'entretenir son jeune amant encore étudiant. C'est dans cette situation complètement désespérée qu'elle va rencontrer par hasard Kurosawa, son ancien chef qu'elle détestait plus que tout. Ces retrouvailles pourraient bien bouleverser le cours de sa vie.


La critique ZOO

Une trentenaire célibataire et au chômage n'a plus qu'une solution pour s'en sortir : devenir serveuse dans le restaurant de son ancien patron qu'elle déteste. Contre toute attente, celui-ci va s’avérer d'une grande aide pour cette naïve en puissance. Un deuxième tome plutôt décevant, qui perd toute l'originalité et le côté décalé qui faisait son intérêt.

Michiko est une loseuse : à 29 ans, elle enchaîne les jeunes amants qui se font entretenir, se retrouve au chômage et finit définitivement ruinée par sa dernière conquête. Son ex-patron coincé et sévère, qui s'avère être également un ex-ex-voyou, l'embauche alors dans son restaurant en échange de la promesse de devenir plus adulte et responsable. Alors que leur proximité grandissante trouble Michiko, elle s'aperçoit qu'elle n'est pas la seule à avoir des problèmes de cœur…

Avec son parti de prendre comme protagonistes des trentenaires au lieu des lycéens habituels, Please love me ! promettait un shojo qui sortait des sentiers battus. Crédit à la consommation, arnaque, chômage… même si le point de vue restait superficiel, le premier tome abordait des thématiques intéressantes. Le volume deux est malheureusement nettement plus décevant, avec une intrigue qui se recentre sur les sentiments exacerbés de l'héroïne, au détriment des éléments extérieurs et personnages secondaires.

L'auto-dérision et l'humour de situation, très présents en début de série avec le dessin caricatural donnaient une vraie fraîcheur à l'histoire mais ils sont également de moins en moins présents. Cela alourdit des scènes déjà trop pesantes par leur déferlement de bons sentiments et de larmichettes. Restent quelques scènes magiques, qui font pressentir tout le potentiel de la mangaka si elle libérait son imagination de toutes paillettes inutiles. Et ce n'est pas le coussin-steak géant qui viendra me contredire...

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