ZOO
couverture de l'album

Série : The Testament of Sister New DevilTome : 1/7Éditeur : Delcourt

Scénario : Uesu TetsutoDessin : Miyako Kashiwa, Nitroplus

Genres : Manga, Shonen

Public : De 12 à 17 ans

Prix : 7.99€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.5

    Dessin

    2.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du manga

Après le remariage de son père, Basara est contraint à cohabiter avec Mio et Maria, ses deux belles-soeurs. Mais le jeune lycéen découvre rapidement leur vrai visage : Mio est en réalité la fille de l'ancien roi des démons et Maria un succube avec pour seul but d'extirper la maison de pauvres humains. Malheureusement pour elles, elles sont loin de se douter à quelle famille elles se sont attaquées.


La critique ZOO

Au cœur d’un Japon apparemment tranquille et policé, quoi de mieux que des filles démoniaques à gros seins qui n'ont aucun sens de la mode, ni des proportions (vestimentaires) et des supers pouvoirs orgasmiques !

Joie des familles recomposées. Voilà le gentil héros qui se retrouve du jour au lendemain à partager l'appart dans lequel il vit avec son père avec une « nouvelle famille » composée de filles. La cohabitation avec ses nouvelles belles sœurs n'est pas de tout repos surtout quand il découvre qu'elles sont du côté démoniaque de la Force et que lui est de l'autre camp.

Contrairement aux productions érotiques classiques, l'auteur de ce hentaï tente un scénario un peu fouillé, dans lequel la fille du roi des démons défunt cohabite avec un représentant de la race des héros. Malheureusement les prétextes invoqués pour que le héros puisse tripoter l'immense poitrine de sa « sœur » sont prévisibles et peu crédibles.

Le dessin plutôt joli offre des scènes parfois un peu fouillis, les scènes de (non) sexe autant que les scènes de lutte recèlent un trop grand nombre de détails pour être facilement lisibles. Seul détail incongru, lorsqu’on pelote l’héroïne démoniaque aux seins phénoménaux, ça fait « Pouic, Pouic ».

A part cet effet décalé les personnages répondent parfaitement aux codes de ce type de manga : costume d’écolière et garçon coincé à la chevelure brune et raide dans la plus pure tradition Sailor Moon. Les différences physiques sont gommées puisque tout le monde a les yeux ronds, des hanches étroites et des gros seins, du côté fille au moins.

Si ce n’est ni d’un érotisme brûlant, ni d’un suspense haletant, c’est un album qui se laisse lire si on le prend au second degré, à moins que vous aimiez appeler votre amant « grand frère ».

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