ZOO

Deadline

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 7 critiques Presse

5.0

Le 27/6/2017

Faire bouger les lignes

Avec la guerre de Sécession comme arrière plan historique, Laurent-Frédéric Bollée et Christian Rossi mêlent vengeance et histoire d'amour dans Deadline, western pour tous avant l'heure.

4.5

Le 27/6/2017

Louis Paugham, marqué par la guerre de sécession et par sa rencontre avec un « nègre », cherche à se venger. Un western classique et moderne à la fois, très réussi.

3.0

Le 27/6/2017

Au final, Deadline se démarque de la pléthore de bandes dessinées disponibles en magasin par son dessin et sa mise en scène. C’est toutefois un peu court pour faire de cet ouvrage un achat indispensable.

4.0

Le 27/6/2017

Deadline : la ligne qui ressuscite la BD de western

Ce bel album est une réussite, une petite merveille qui allie une histoire originale avec en toile de fond la grande Histoire (qui donne envie de se documenter sur cette période). Certaines scènes sont un peu violentes à mon goût (je sais je me répète) mais toujours fort bien mises en scène et finalement cette violence n’est jamais gratuite : elle sert le propos.

4.0

Le 27/6/2017

Bollée nous propose avec ce titre un très beau récit humain, violent, plein d'amitié et même d'amour. C'est aussi un récit sur la libération, sur le courage, sur la guerre, sur le racisme.

5.0

Le 27/6/2017

Un western brillantissime signé Laurent-Frédéric Bollée et Christian Rossi

Camp d’Andersonville, une ligne tracée au sol, simple et pourtant infranchissable. Un jeune homme recruté de force dans les rangs de l’armée confédérée rêve pourtant de la traverser pour étreindre ce soldat noir qui le fascine.

3.5

Le 1/5/2018

Deadline, un western shakespearien

Une vengeance, un amour impossible, un western, la guerre de Sécession, Deadline est tout cela à la fois. Rossi et L.F. Bollée partent sur les traces sanglantes d’un type qui ne demandait rien à personne et que la guerre a projeté dans un monde de violence et d’horreur, sans la moindre place pour la pitié. Implacable.

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