
Extrait n°1 de la bd Harpignies par Elric Dufau

Extrait n°2 de la bd Harpignies par Elric Dufau

Extrait n°3 de la bd Harpignies par Elric Dufau
Note moyenne : 3.4 pour 4 critiques presse
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Un jeune artiste s’intéresse à la technique de son ancêtre, le peintre Harpignies, puis tombe amoureux et devient faussaire. Un biopic-hommage étonnant de fraîcheur et de modernité…
L’unité du Major va arrêter des mafieux qui veulent attaquer un institut financier mais la présence d’un androïde va changer les choses. Un quatrième opus divertissant.
Entre fiction, histoire de l’art, réalité, cet album a la saveur d’une belle balade où l’on croise un peintre oublié mais qui a eu son heure de gloire et son descendant qui va se servir d’un talent héréditaire pour gagner de l’argent. Harpignies, c’est le nom de famille, Henri pour l’ancêtre qui a vraiment existé, Eric pour le descendant fictif à chapeau claque.
Eric découvre le passé de son aïeul, Henri Harpignies, peintre à succès du XIXe siècle. Il commence à peindre des arbres, ce qui l’ennuie profondément. L’amour et une proposition malhonnête vont passer par là. Côté scénario, c’est du jamais vu. Le dessin lui, simple, soigné et efficace, donne toutes les clés pour ouvrir les tiroirs d’une histoire riche en interprétations.