ZOO

Love in Vain

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 6 critiques Presse

5.0

Le 27/6/2017

Love in vain se pose – par son originalité de traitement et sa beauté plastique quasi organique – comme le bijou noir de cet automne.

3.5

Le 27/6/2017

"Early this mornin' When you knocked upon my door Early this mornin' Ooh, when you knocked upon my door And I said Hello, Satan, I believe it’s time to go" Comme les deux tiers des bluesmen du Mississippi en ces rudes années trente, Robert John

4.0

Le 27/6/2017

L’histoire d’une légende, Robert Johnson, bluesman, guitariste génial, qui disait avoir vendu son âme au diable contre son talent. Un biopic noir comme le diable, bourré de second degré, et riche de références.

5.0

Le 27/6/2017

Il a enregistré en tout et pour tout vingt-neuf titres dans les deux années qui précèdent sa mort, en 1938, à 27 ans, et cela a suffi à le propulser post mortem au panthéon du blues. Mais la légende de Robert Johnson s'est nourrie d'une énigme, jour mal élucidée : qui était-il ? On ne connaît de lui que deux photos (plus une possible troisième, qui a fait l'objet d'une quête échevelée...). Si certains épisodes de son parcours sont avérés, des contre-vérités et des témoignages aléatoires ont brouillé les pistes. De ce « biopic » a priori impossible, Mezzo et Jean-Marie [...]

5.0

Le 27/6/2017

Sexe, alcool et blues

Né dans une famille recomposée au gré des hommes qui passent et de la volonté de sa mère, Robert Johnson s'est vite rêvé bluesman. Si son chant a tout de suite marqué les esprits, il n'en fut d'abord pas de même de son jeu de guitare, ce jusqu'au jour où

3.5

Le 5/4/2018

Love in Vain, le génie du guitariste Robert Johnson

On mourrait jeune dans les années 30 quand on était un blues man noir de surcroit. Robert Johnson reste pour tous les connaisseurs l’un des musiciens mythiques du genre, mort à 27 ans empoisonné. Mezzo et Jean-Michel Dupont lui consacrent un album soigné, graphique, au style épuré qui rappelle pourtant le temps des gravures sur bois. Et reviennent aussi sur la ségrégation aux USA.

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants