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Sans pardon

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

4.0

Le 27/6/2017

En se réfugiant dans le ranch paternel où vivent également sa femme, Elisabeth, et Jeb, son jeune fils âgé de douze ans, l’outlaw Buck Carter va déchaîner un ouragan de violence. Seize ans après son mémorable On a tué Wild Bill, Hermann renoue avec bonheur avec le western, cette fois sur un scénario d’une noirceur absolue signé par son fils, Yves H..

4.0

Le 27/6/2017

Le féroce shérif Masterson poursuit le bandit Buck, envers lequel le fiston nourrit de justes rancoeurs. Un western âpre et violent, en tant que châssis permettant l’expression du talent graphique d’Hermann.

2.5

Le 27/6/2017

Les forces de l'ordre à ses trousses, Buck Carter se réfugie chez les siens. Pas de chance, il n'est pas le bienvenu à Cuver Creek, sa famille ne voulant rien avoir à faire avec ce hors-la-loi. Après une première échauffourée meurtrière avec l'acariâtre M

3.5

Le 5/5/2018

Sans pardon, une chevauchée sauvage signée Hermann et Yves.H

C’est le titre phare de la collection Signé de ce début d’année. Avec Sans Pardon, dans lequel on retrouve la double signature Hermann (Yves. H au scénario), on part pour une poursuite infernale, un western sanglant. Une histoire de famille avec un père et un fils, héros de cette course éperdue et sans issue. Ils vont prendre ensemble la route de l’enfer. Du cousu main dans des paysages et des ambiances dignes de la grande tradition du western façon plutôt Tarantino ou Eastwood que Howard Hawks.

3.0

Le 23/7/2018

Quand les Hermann père et fils créent un western, cela donne un univers dur et très glauque. Beaucoup de personnages sont des salauds : le truand recherché, son fils devenu adulte et surtout le marshall et ses hommes. Résultat : il faut compter les vivants plutôt que les morts à la fin de l'histoire… D'ailleurs je ne me rappelle pas avoir compté de vivant!! Les graphismes sont irréprochables, c'est du pur Hermann, mais je ne suis pas fan des scénarios massacrants de ce genre.

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