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Le Voleur de Livres

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

5.0

Le 27/6/2017

Un album qui se lit d'une traite et qui me permet de découvrir des auteurs à surveiller de très prêt ! Parce que même si le scénario est très habile, le dessin de Tota est de toute beauté. Une sorte de réalisme doux, épuré et très expressif, qui sait rester en retrait par rapport au propos tout en amenant une touche

2.5

Le 27/6/2017

Ce récit en noir et blanc suit le parcours supposé bohème d’un jeune homme étudiant autoproclamé poète qu’une supercherie va mettre de manière éphémère sur le devant de la scène. Le récit part un peu dans tous les sens, absorbant les courants présents e

3.0

Le 27/6/2017

Paris, début des années cinquante. Daniel Brodin aime se décrire comme un poète, même s'il n'a jamais rien publié. Étudiant monté à Paris pour faire son droit, la trépidante vie artistique de la cité va évidemment l'attirer et l'emporter. Avocat ou créateur, son avenir va rapidement se brouiller, surtout que les filles sont belles et que le vin est bon. Malgré son titre qui en appelle directement au néoréalisme cher à Vittorio de Sica, Le voleur de livres se lit plutôt comme une fable initiatique mâtinée d'une satire sociale des castes intellectuelles. Découpé en chapitres [...]

2.5

Le 27/6/2017

Suite au vol « accidentel » d’un livre dans une librairie, un jeune étudiant en mal d’identité se découvre une âme de voleur… Une plongée déconcertante dans l’univers bourgeois vs libertaire de la société moderne d’après-guerre.

3.0

Le 17/5/2018

Le Voleur de livres, la poésie c’est pour les cons

Un garçon un brin paumé, il vole des bouquins dans les librairies parisiennes. Il a une grande idée de lui-même, poète à ses heures. Il va connaître son heure de gloire. Le Voleur de livres a le cachet d’une aventure malicieuse dans l’univers assez déglingué et prétentieux de l’après-guerre littéraire, sous la tutelle totalitaire de Sartre et de De Beauvoir. Alessandro Tota et Pierre Van Hove sont à la barre de ce récit en noir et blanc qui étonne et détonne.

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Commentaire et critiques (1)

note de la critique de diavaloo

4.0

En soi, cet album est très bon, excellent même. Le dessin est beau, le scénario est malin, crédible et prenant, l'ambiance du Paris des années 50 probablement bien restituée. Malheureusement, le perso principal n'est pas très... attachant. C'est voulu je sais, et ca devrait donc valoir des points en plus, mais le fait qu'il manque d'idéal m'empêche un peu de m'intéresser à son sort. Je recommande quand même l'album !

Le 08/04/2015 à 15h40