ZOO

Ligne B

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

3.0

Le 27/6/2017

Laurent déteste de plus en plus sa vie : une femme distante, un boulot difficile, la peur de se faire racketter… Une fable moderne, puissante et dérangeante sur la place des « banlieues » dans notre société.

3.0

Le 27/6/2017

Pour un premier album de fiction, Julien Revenu s’attaque à un sujet compliqué – la violence urbaine quotidienne – et ne prend pas le chemin le plus aisé. On colle ainsi aux basques (puis aux baskets) d’un type extrêmement banal, un jeune Monsieur-tout-le-monde qui fuit la violence, verbale et physique, et se retrouve ainsi victime idéale de petits voyous comme de managers irascibles.

4.0

Le 27/6/2017

Vazy t'as vu ?

Non seulement c’est réaliste mais c’est hyper bien écrit. C’est genre de récit qui vous prend à la gorge et qui ne vous lâche plus avant la dernière page.

3.0

Le 27/6/2017

Laurent est un loser. Il passe son temps à baisser les yeux devant sa femme, son chef, devant les brutes au regard mauvais du métro. Un soir, c'est l'agression de trop. Dépouillé de son portable par un groupe de racailles, humilié, il craque et décide de

4.0

Le 11/6/2018

Ligne B, voyage sans retour et Julien Revenu en dédicace le 23 mai chez Azimuts Montpellier

Le roman graphique de Julien Revenu, Ligne B, pourrait être un exorcisme mais au ton de drame mortel, sans retour. Son héros, à l’automne 2005, celui d’un nouvel embrasement des banlieues, est une victime comme tant d’autres, cible facile de petits truands au QI d’huitre, malfaisants notoires et ordinaires, dangereux. Laurent pourrait être n’importe lequel d’entre nous, un type sans espoir qui va ruer dans les brancards. Pour le pire. Une vraie émotion se détache du récit de Julien Revenu, poussée au rouge vif. Revenu sera en dédicace le 23 mai à la librairie [...]

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