ZOO

Retour au Kosovo (édition spéciale)

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 6 critiques Presse

4.5

Le 27/6/2017

Certains retours marquent une vie. Lorsque Gani Jakupi, Kosovar, quitte son pays en guerre et qu’il le retrouve à la fin des années 1990, il se fait le témoin de l’horreur traversée par son peuple. Il réussit avec une authenticité peu commune, dessin de choix à l’appui, à transmettre sa vision.

4.0

Le 27/6/2017

Retrouve ses parents, qu’il croyait morts. Découvre la ville de son enfance devenue vide. Entend des récits horrifiques. Mesure ainsi les traumatismes de sa famille, de ses amis. Pour raconter sa surprise, son émotion, il ne verse pas – ou si peu – dans le pathos.

4.0

Le 27/6/2017

La dernière image est une bande dessinée parue il y a deux ans à peine. Réalisée en solo, elle apportait une vision critique du travail des correspondants de guerre à travers le conflit kosovar. Gani Jakupi, résidant espagnol originaire de cette région de

5.0

Le 27/6/2017

Cet album est avant tout un grand questionnement sur l'après-guerre. D'une force bouleversante mais tout en retenue, les douleurs et les interrogations de Gani sont mis en images par le style graphique d'un Jorge Gonzalez au firmament.

3.5

Le 23/1/2018

Genre : reportage de guerre et conséquences Quinze ans après la guerre du Kosovo, Ganu Japuki, le scénariste, arrive enfin à raconter l’histoire de ce pays, les massacres, les populations expulsées ; L’histoire d’un pays exsangue d’avoir trop souffert et pleurer. Le dessin de Gonzales étonne. Par ses couleurs d’abord, tantôt noirs ou marrons angoissants où se dissolvent quelques rares silhouettes ou ombres projetées, tantôt paysages bucoliques verdoyants dont on présage qu’ils sont tombeaux. Le dessin transforme le reportage photographique en œuvre [...]

4.0

Le 23/1/2018

En 1999, Gani Jakupi retourne au Kosovo juste après le conflit pour retrouver sa famille et faire un reportage en forme de témoignage sur cet « après ». Un « documentaire » pudique, réflexif et saisissant.

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