La bureautique des sentiments
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 4 critiques Presse
4.0
Le 11/10/2018
Commercial en assurances-vie, Michel essaie de se faire une place auprès de ses collègues, comptant sur son humour pitoyable, ses passions pour les logiciels de gestion et un talent de dragueur aux oubliettes. Un album hilarant !
2.5
Le 11/10/2018
Michel est employé chez Martin et Martin Assurances. C'est un fanatique du tableur Excel qui a quelques problèmes de communication avec les hu mains standard et surtout avec les humaines!! Heureusement la grande famille du Death Metal va lui ouvrir les bras... Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu d'aventures de ratés magnifiques... Et Michel mérite de monter sur le podium des héros nuls et pathétiques. L'histoire de Michel est racontée en 1 ou plusieurs cases aux angles arrondis. Le scénariste n'a aucune pitié pour son personnage : il est toujours (ou [...]
3.0
Le 11/10/2018
La Bureautique des sentiments, le monde cruel de l’entreprise pour Michel l’incompris
La jungle, sans pitié, violente et méchante, l’entreprise, celle qui vire avec le sourire, flatte pour mieux asservir, c’est le cadre de vie (et de mort) de Michel, courtier en assurances vie. Un comble. La Bureautique des sentiments est un joli et noir pamphlet tout juste exagéré sur ces monstres qui nous emploient et considèrent que c’est une chance inespérée.
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3.0
Le 11/10/2018
Album en provenance de l'écurie Fluide Glacial, La bureautique des sentiments fait évidemment dans la plaisanterie, la grosse, la grasse. À la satire professionnelle, les assurances dans le cas présent, Jorge Bernstein et Julien/CDM (Cosmik Roger, Business is business) ont ajouté une dimension humaine en la personne de leur héros, Michel, un employé peu empathique à tendance geek très marquée. Ce sommaire varié devrait particulièrement plaire aux amateurs d'humour noir. Sur le papier, le mélange de l'univers de Jean-Claude Tergal avec celui de [...]