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L'homme qui ne disait jamais non

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 3 critiques Presse

3.0

Le 11/10/2018

Alors que l'avion amorce sa descente sur Lyon, un homme se réveille brusquement, complètement amnésique ! Son passeport l'informe qu'il se nomme Étienne Rambert. Aidé par Violette, une hôtesse de l'air/étudiante en sociologie, il va tenter de remonter le fil de son existence. Dans son œuvre, qu'il s'agisse d'humour avec Jean-Claude Tergal ou de récits sérieux tels que Le fils du yéti, Didier Tronchet s'est régulièrement penché sur le passé et les racines de ses personnages, le plus souvent en mode pseudo-biographique. L'homme qui ne disait [...]

5.0

Le 11/10/2018

Violette, hôtesse de l'air et étudiante en psychologie, fait la rencontre d'un passager amnésique. La jeune femme pétillante va l'aider à retracer le fil de son histoire. Un one-shot prenant et bien construit.

3.5

Le 11/10/2018

On peut qualifier cette BD de polar comique. Sur la trame un peu classique de l'amnésique meurtrier potentiel, les auteurs nous proposent une déambulation loufoque dans l'existence passée d'un homme que tout son ancien " moi " rebute. Peut-être en effet parce qu'il n'a jamais su dire non, il s'est retrouvé acculé, de compromis en soumission à une situation de non-retour l'obligeant à s'exiler loin pour construire une nouvelle vie. Mais l'affirmation de soi tardive peut blesser, voire pire. Le dessin est souvent simple, supprimant les décors pour les remplacer par des [...]

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Commentaire et critiques (1)

Violette, une hôtesse de l'air curieuse et enthousiaste prépare un concours pour devenir profiler. Elle remarque un homme qui semble perdu. L’homme ne se souvient de rien. Ni pourquoi il a pris l’avion, ni de la date du jour, et pas même de sa propre identité. Violette décide de venir en aide à celui qui, selon son passeport, s’appelle Étienne Rambert et vit à Lyon... Une aventure totalement imprévisible démarre alors...

Tronchet, auteur de BD originaire de Béthune, est excellent dans l'humour noir et le cynisme social. Ses héros récurrents (« Raymond Calbuth », « Jean-Claude Tergal ») sont de pauvres types tarés, décalés et attachants. On lui connaît un autre registre depuis quelques années qui lui vaut des récits qui mériteraient d'être adaptés au cinéma ou à l'écran. Des pièces légères qui jouent avec les codes des genres dans un registre loufoque et léger. Cette BD ne dépareille pas dans cette veine : une variation autour du personnage amnésique inspiré d'un fameux Hitchcock - «La maison du Docteur Edwards ». Le dessin d'Olivier Balez à la palette de couleurs superbes se marie parfaitement à l'ambiance (j'ai juste un problème avec le bermuda du héros qui ressemble parfois à u

Le 16/02/2022 à 14h20