ZOO

Grégory

couverture de l'album Grégory

Éditeur : Les Arènes

Auteur :

Collection : Les Arènes BD

Prix : 25.00€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Grégory

Le 16 octobre 1984, les gendarmes repêchent dans une rivière des Vosges le corps sans vie d'un enfant de quatre ans, Grégory Villemin. Son bonnet est rabattu sur son visage, ses pieds et ses mains sont liés. Le lendemain, une lettre anonyme arrive au domicile de ses parents. Tout est hors norme dans cet assassinat. La victime est un enfant qui jouait sur un tas de gravier devant chez lui. Le meurtrier revendique son crime avant même de l'avoir commis. Il n'y a aucun mobile évident : les parents de Grégory sont un jeune couple d'ouvriers, amoureux et sans histoires. Un premier suspect, Bernard Laroche, un cousin du père, est arrêté puis relâché. Pour le défendre, ses avocats détournent l'attention vers la mère de l'enfant, Christine Villemin. Sous pression, rendu fou par les manoeuvres et la rumeur, Jean-Marie Villemin se rend chez Laroche pour tenter de le faire parler. Il le tue. La victime devient alors coupable. En prison, Jean-Marie Villemin effectue un long...

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La critique ZOO sur l'album Grégory

Depuis 40 ans, la mort du petit Grégory, retrouvé ligoté dans une rivière des Vosges, n’en finit pas de nous choquer. Une BD publiée aux Arènes, avec l’appui du père de l’enfant, Jean-Marie Villemin, tente de raconter cette affaire hors-norme. Qui a fait date dans l’histoire de la justice et des médias.

L’affaire du « petit Grégory », cet enfant retrouvé assassiné et ligoté le 16 octobre 1984 dans le lit de la Vologne, au cœur des Vosges, a déjà ses livres et ses séries (documentaires et fictionnels). Mais ce fait divers hors du commun valait bien une bande dessinée.

Extrait

Extrait - page 11
© Les Arènes BD, 2024 - Pat Perna et Christophe Gaultier

On dévore ainsi ce premier tome de la BD écrite par Pat Perna et dessinée avec sensibilité par Christophe Gaultier, ayant bénéficié de l’appui et de l’implication de Jean-Marie Villemin, le père de Grégory. Elle s'appelle sobrement Grégory, comme pour contrer une certaine catégorie de « journalistes » qui, à l'époque, se sont comportés comme des bêtes sauvages. Nul besoin de les nommer : ils le sont déjà dans de nombreux livres et se reconnaîtront.

La réalité est donc la suivante : si le plus important doit rester la souffrance des époux Villemin, au-delà des pleurs, c'est la pratique d'une presse de charognards que cette œuvre questionne.


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