ZOO

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

5.0

Le 27/6/2017

Plaisir de la semaine: le sexe

L’humour et la sexualité forment un couple impossible qui dégénère souvent en grivoiseries à se taper sur le ventre, et rarement en galanteries à épicer les plaisirs. Voilà pourquoi la BD d’Aurélia Aurita est un bonheur. C’est drôle, attendrissant, et ça reste excitant. Surtout, ça inverse les polarités traditionnelles, du masculin libidineux et du féminin nunuche, pour un mélange moins codé où les brouillages et les recompositions se font selon les générations, les origines, les caractères, et les libertés de chacun chacune.

5.0

Le 27/6/2017

L’ouvrage d’Aurélia Aurita est un événement, comme le fut il y a une décennie la publication du premier tome du Journal de Fabrice Neaud, chez Ego comme x. Parce que cette jeune femme d’origine française, chinoise et cambodgienne, ne se cache pas derrière la fiction pour décrire et raconter la passion amoureuse et très érotisée qu’elle vit, au Japon, avec son amant.

5.0

Le 27/6/2017

Bonne nouvelle pour ceux à qui le dessinateur Reiser, disparu en 1983, manque cruellement : il a enfin trouvé un successeur digne de ce nom en BD. Et lui qui aimait tant les femmes aurait certainement apprécié que ce soit une sublime jeune fille de 25 ans.

4.0

Le 27/6/2017

Ce livre n’est pas seulement un formidable poème amoureux raconté sans retenue, ni pudeur, et qui célèbre avec une authenticité rayonnante les plaisirs intimes de l’amour, il est surtout un discours sur le plaisir qu’attend la femme de l’homme et ceci, exprimé avec d’autant plus d’impudeur (et de curiosité de la part du lecteur) que l’objet du désir n’est autre que… Frédéric Boilet, le célèbre auteur de L’Epinard de Yukiko (Ego comme X) et de Tôkyô est mon jardin (Casterman). On pense évidemment aux textes sur la passion charnelle et littéraire de Henry Miller et Anaïs Nin. Aurélia Aurita, fra

4.0

Le 27/6/2017

L’empire des sens

Chenda - alias Aurélia Aurita - se rend au Japon pour y séjourner quelques semaines afin d’en ramener des pages de bande dessinée pour un ouvrage collectif. Cette commande est surtout un prétexte pour retrouver son nouvel amour, lui-même auteur de BD : Frédéric Boilet. Lorsqu’ils sont ensemble, Chenda et Frédéric s’abandonnent totalement à leur dévorante passion et plongent tête baissée dans de longs moments de frénésie sexuelle. La première réaction à la lecture de cet album peut-être la gêne : Aurélia Aurita nous expose sa vie sentimentale et sexuelle manifestement [...]

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