ZOO

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 7 critiques Presse

4.5

Le 27/6/2017

Un album qui s'étire lentement, avec un plaisir de la lecteur qui émerveille encore tout les fans de l'artiste.

4.0

Le 27/6/2017

Un bel ouvrage, à la construction parfaitement maîtrisée (et peut-être même trop), qui devrait ravir les amateurs des pérégrinations de Jonathan, et attiser la curiosité de ceux qui seraient jusqu’alors passés à côté de la série.

2.5

Le 27/6/2017

La grande abondance des textes récitatifs – même si on trouve de nombreux haïkus – assomme quelque peu le rythme. C'est dommage, car graphiquement, le dessinateur est fidèle à sa réputation de maître de la mise en page.

4.0

Le 27/6/2017

Un Jonathan de Cosey c’est toujours un voyage, au dehors et au-dedans. Ce nouveau voyage se fait au gré de « haïku », court poème d’origine japonaise, et d’histoires d’amour, fortes, dignes, tristes, magnifiées en quelque sorte.

5.0

Le 27/6/2017

Jonathan rejoint sa nouvelle amie Atsuko dans les montagnes du Japon, où il démêle un double mystère. Retour au suspens (léger !) pour un héros romantique et contemplatif, dans un nouveau pays d'Asie...

4.0

Le 27/6/2017

Mystérieuses japonaises

Jonathan est retenu par une panne de bus dans une ville de Birmanie. Il y croise rapidement Atsuko, jeune japonaise venue là pour photographier la chambre où a logé Jonathan, lieu lié à l'histoire de sa famille. Sur le point de partir, Jonathan se voit remettre un carnet qui aurait appartenu à une cousine du grand-père d'Atsuko. Il se rend au Japon retrouver cette dernière. Ce quinzième tome de « Jonathan » est riche en artifices et en ficelles un peu grosses, mais cela n'empêche pas cet album de tenir la route et d'emballer le lecteur. Cela est certainement dû au grand [...]

4.0

Le 23/1/2018

Un Jonathan de Cosey c’est toujours un voyage, au dehors et au-dedans. Ce nouveau voyage se fait au gré de « haïku », court poème d’origine japonaise, et d’histoires d’amour, fortes, dignes, tristes, magnifiées en quelque sorte. On retrouve toute l’atmosphère de la série. On retrouve le rêveur de « l’espace bleu entre les nuages », ma BD favorite. On retrouve la mise en page qui se joue de nos sens et de notre attention pour mieux raconter son histoire. La page 52 par exemple est osée, déroutante, mais finalement profondément belle, de [...]

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