
La Peur géante - T1 : La Révolte des Océans (Edition Canal BD)
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 6 critiques Presse
4.0
Le 27/6/2017
Péril en haute mer
Le scénariste Denis Lapière signe là une adaptation judicieuse d'un roman d'anticipation publié en 1957, mais qui trouve d'étranges résonances dans les craintes environnementales d'aujourd'hui. Un récit dense, immédiatement prenant...
4.5
Le 27/6/2017
Une nouvelle série adaptée des univers de Stefan W
Suite à la fonte subites des glaciers sur Terre, de nouvelles menaces venues de la profondeur des océans apparaissent. Une nouvelle série adaptée des univers de Stefan Wul, aux débuts incroyablement addictifs.
3.0
Le 27/6/2017
Ce nouveau volume de la collection Les Univers de Stefan Wul, après notamment Niourk et Oms en série, se présente comme une aventure de science-fiction trépidante, tendance film catastrophe à thématique écolo.
4.0
Le 27/6/2017
Je suis la collection Stéphan Wul depuis sa création et n'ai jamais été déçu. Le choix des auteurs par l'éditeur, l'adaptation qu'ils en font et la qualité de l'édition sont de véritables points forts pour chacun des séries et albums de cette collection. Ici, avec la peur géante, c'est un nouvel univers de science-fiction que je découvre, je ne connaissais pas Wul avant ces adaptations, et je m'y suis beaucoup plu, une nouvelle fois. Les auteurs nous invite dans un futur pas si lointain pour y suivre la vie d'un homme qui va être bousculé à la suite d'un Tsunami [...]
4.5
Le 3/5/2018
La Peur géante, quand l’eau ne gèle plus
Comix Buro et Ankama continuent leur adaptation de l’œuvre de Stefan Wul. La Peur géante est très en avance par son histoire sur son temps. L’eau ne peut plus geler, la banquise fond, la Terre est ravagée par des tsunamis.
Haut de page
2.5
Le 27/6/2017
Il reste un tome aux auteurs pour entraîner leurs lecteurs dans les abysses et aller botter l’arrière-train des étranges créatures qui en veulent à l’Homme devenu pantouflard.