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Pascale Bourgaux, grand reporter - T1 : Les Larmes du Seigneur Afghan

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

4.0

Le 27/6/2017

Après être venue demander de l’aide à Ken pour son petit ami goule, Kimi se fait enlever par le cruel Shu. Une lecture qui se déguste saignante !

4.0

Le 27/6/2017

Les Larmes du seigneur afghan réussit son pari : intéresser aisément son lecteur à la réalité d’un pays dont la plupart des médias se sont depuis longtemps détournés, et expliquer la façon dont les journalistes travaillent sur place, avec la droiture et l’opiniâtreté comme seules armes.

3.0

Le 27/6/2017

Depuis dix ans, Pascale Bourgaux se rend régulièrement en Afghanistan pour des reportages. En mars 2010, alors qu'elle fait route vers l'aéroport, son rédacteur lui demande de renoncer, mais elle refuse. Ne doit-elle pas une fois de plus rencontrer Mamour

3.5

Le 23/1/2018

Nous aussi nous pourrions facilement verser des larmes de regret et d’angoisse à la lecture de cet excellent ouvrage. Regrets que les efforts pour soi-disant sauver la liberté et les gens n’aient fait qu’enrichir quelques ministres corrompus et créé un terreau d’extrême pauvreté fertile pour favoriser le retour des talibans. Regrets encore une fois de voir que la distance et nos certitudes nous éloignent des vraies priorités d’aide et d’action. La mise en page se présente comme une succession de vignettes de pellicule de film qui défilent devant nos yeux [...]

3.5

Le 27/2/2018

Les Larmes du seigneur afghan, chronique d’une guerre morte

Pascale Bourgaux est grand reporter, spécialiste de l’Afghanistan. Elle va retourner sur les traces de Mamour Hasan, un seigneur de la guerre qu’elle a déjà rencontré. Un reportage de tous les dangers mis en images par Thomas Campi au dessin et Vincent Zabus qui co-scénarise. A la redécouverte d’un conflit oublié et qui n’en finit pas de tuer. Le premier tome d’une nouvelle série consacrée par Dupuis au grand reportage.

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