Casterman

Martine à la montagne

Martine au parc
Le parc où joue Martine est vraiment merveilleux. C'est là qu'elle promène sa poupée. C'est là qu'elle retrouve ses amis quand ils jouent au bord de la pièce d'eau. Un petit tour en balançoires, un petit tour a dos d'âne et un spectacle de guignol... de quoi s'amuser tout l'après-midi !

Martine a perdu son chien
A la recherche de Patapouf qui s'est égaré.

Martine en montgolfière

Martine apprend à nager

Martine fait la cuisine

L'Amour hologramme
Un dessin en noir et blanc, classique, réaliste et sophistiqué et un scénario évolutif font de l'Amour Hologramme une subtile et pertinente histoire de science fiction.Une fable politico-ironique au caractere futuriste
Au Fil du Rasoir

Un Point C'est Tout!
Redécouvrez l'humour surréaliste et déjanté de François Boucq à travers cet album mythique regroupant histoires courtes, illustrations et digressions délirantes sur notre monde contemporain.

Intermezzo
Deux ou trois choses que je sais d'eux
''Deux ou trois choses que je sais d'eux est tiré des mémoires de guerre que le major Koinksy écrivît pendant la campagne d'Italie de 1943/45. Koinsky, nous l'avons suivi dans ses aventures militaires en Afrique avec les Scorpions du Désert. Dans l'un de ces récits, l'officier polonais qui servait alors dans l'armée anglaise en Ethiopie, connut le lieutenant italien Stella qui lui, meurt dans l'histoire que vous connaissez sous le nom de J'ai deux amours. En cette occasion, Koinsky tomba amoureux d'une photographie représentant Franca Stella, la femme de l'officier italien disparu. Du débarquement en Sicile, jusqu'au combat final contre les Allemands et les fascistes dans les marais de Comacchio, Koinsky chercha en vain la veuve de Stella. Puis vinrent deux années de guerre sur la côte Adriatique, où il participa à de nombreuses actions téméraires, et, justement, écrivit ses anecdotes de guerre. (..) Voici donc la première partie de ces récits tirés des mémoires du major polonais.'' (Hugo Pratt, dans une introduction à cet album)

Taty, Princesse de Neuilly

Salut tout le monde !

Mademoiselle Louise

Cache-cache

Luc Leroi remonte la pente

L'ange de miséricorde
Turcharo est un petit bourg canadien qui vit dans l'attente de l'élucidation de quelques crimes sordides. Mais plus que ce mystère ambiant, ses habitants craignent qu'on ne révèle ce qu'ils croient être leurs secrets intimes, car leurs couchailleries, leurs menus larcins, leurs vices même pas honteux, leurs trésors minables sont pour eux vitaux parce que, précisément, ils sont leur vie. Seule la femme shérif ne se soucie pas de sa réputation, et quand un vendeur de bijoux en toc débarque dans la petite ville, elle le prend illico comme amant. Le colporteur s'attire bientôt d'autres sympathies comme celles d'un homme à tout faire affable, d'un écrivain étrange, d'une majorette en chef sur le retour, d'un Russe nommé Van, qui appartient à une famille d'exilés excommuniés un peu miteux, un peu mystiques, ... Les jours pourraient continuer à couler tranquilles et le sang aussi d'ailleurs. Mais Merwin, la shérif, mène l'enquête ... Comme un lonesome Zorro, elle tombe à pic pour démasquer le démoniaque ange de miséricorde qui n'est autre que le Roméo de ses nuits. L'histoire, de meurtres en faux coupables, de femme flic en femme des bois, de secte étrange en communauté fermée au progrès, d'animaux empaillés en bijoux de pacotille, ne s'arrête pourtant pas là. Elle trouve son dénouement dans les fondements d'une morale ancestrale comme l'aime l'Amérique : qui vit par la violence, périra par la violence

Barokko
Dali Capitan

Objectif lune
En Syldavie, Tournesol met au point sa fusée lunaire à moteur atomique et s'apprête à partir pour la Lune. Mais de mystérieux incidents mettent à mal ce projet : la fusée d'essai est détournée, une tentative de vol des plans se produit, .. Qui se cache derrière cela ? Et la fusée pourra-t-elle décoller ?

Huitieme jour

Gully Traver

La grande illusion

Carnets de route : La Russie
Qui n'a pas en mémoire les pages de Tintin où se mêlent poursuites, enlèvements, recherches de trésors, voyages au bout du monde, aventures merveilleuses, ces pages qui continuent à exercer de génération en génération la même fascination.

Les Cigares du Pharaon
L'égyptologue Philémon Siclone est à la recherche du tombeau du pharaon Kih-Oskh. En l'accompagnant dans sa quête, Tintin sera entraîné dans une affaire de stupéfiants qui le mènera jusqu'en Inde.

Jeux pour mourir

Mû

Mû

De Abdallah à Zorrino

Un peu de tout

La cathédrale invisible
La terreur règne dans la République Démocratique Ovarienne. Outre un tyran sanguinaire et son épouse dominatrice, la population opprimée doit supporter les alertes à répétition dues aux raz-de-marée qui ne cessent de déferler sur le pays.
Seuls les parias peuvent prétendre à une quelconque survie psychologique, à un semblant de liberté.

Martine va déménager

A SUPPRIMER L'afrique noire

Carnets de route : L'Afrique Noire

La fiévre d'Urbicande
Urbicande. Une ville altière, majestueuse, conquérante. Ses lignes d’une pureté sans pareille font l’admiration de tous ; peut-être sa splendeur en fait-elle la ville des villes, dans l’univers des Cités Obscures. Pourtant, l’urbatecte Eugen Robick, l’un des grands artisans de ce rayonnement architectural, est insatisfait. La Commission des Hautes Instances, véritable gouvernement d’Urbicande, lui refuse l’aménagement dans la cité d’un troisième pont qui, prétend Robick, rétablirait un équilibre urbain gravement menacé. C’est dans ce contexte de tension politique et émotionnelle qu’un étrange objet fait son apparition sur le bureau de Robick : une structure cubique évidée d’origine inconnue, faite d’un métal apparemment indestructible, et qui commence lentement à croître et proliférer… Plus de vingt ans après sa publication initiale, La Fièvre d’Urbicande n’a pas pris une ride. Un maître-album impressionnant de maîtrise, passionnant de bout en bout, et qui demeure, aujourd’hui encore, l’un des épisodesmajeurs du cycle des Cités Obscures.

Brüsel
Constant Abeels, fleuriste de profession, est un homme moderne. Il vient de choisir de se convertir à la fleur en plastique, ce nouveau matériau plein d’avenir. Une ouverture d’esprit qui lui permet, à la faveur d’une rencontre avec un chercheur connu, d’être présenté à tout ce que Brüsel compte d’esprits innovants : un bourgmestre audacieux, un entrepreneur de travaux publics visionnaire, des scientifiques entreprenants… Tous ont pour la ville des projets grandioses, qui pourraient faire d’elle la capitale des CITÉS OBSCURES. Mais au fait, la raison estelle soluble dans la modernité, et réciproquement ? Et peut-on affirmer que le ridicule a vraiment droit de cité ?

Jodo, jodo

Pi=3,1416

PI 3,1416

Le cadeau

Mon premier tour du monde

Sac à puces

D'affär mit'm Tournesol

Carnets de route : La Chine

Carnets de route : L'Inde

Les aveugles
Déçus par un accueil villageois hostile, quatre aveugles (dont un qui triche et un qui est sourd, pour cause de walkman dans l'oreille) décident d'aller prendre quelque repos dans un coin tranquille. En l'occurrence, un ermitage habité par une très belle nonne plutôt bavarde, appelée "la nonne anonyme" ou "la damoiselle trop belle" - le modèle mystérieux et altier, en tout cas. Là-dessus débarque un pauvre chevalier, clin d'oeil à une autre histoire de F'Murrrr et reliquat de la cour du roi Artus (en faillite), chargé d'une quête par son secrétariat. Et puis il y a le goupil Renart et la fée Nievenne, qui entretennait jadis des rapports compliqués avec Merlin. Et tout ce beau monde crapahute sur les chemins, avec commentaires appropriés de la faune locale - lapins, chouettes, lutins, etc. Bref, c'est le bordel - mais dans un style médiéval haut de gamme, avec humour pur XIIe siècle, langage impeccablement châtié ("oncques", "je suis curieuse d'ouïr", etc.), et références pointues à tout ce qui fait le charme de l'époque. En prime, F'Murrrr dérape un peu dans le XIXe siècle, puisque le pauvre chevalier, après s'être fait arracher une oreille au combat, décide de se lancer dans la peinture des tournesols. (Les plus cultivés y verront une allusion discrète à Van Gogh). L'ambiance est à l'hystérie et le dessin d'une grande beauté (médiévale aussi). Ce petit bijou d'humour loufoque, publié initialement dans A suivre et édité chez Casterman en 1992, était devenu introuvable. Le revoilà chez Dargaud, l'éditeur qui abrite également, comme chacun sait, les bestioles absurdes du Génie des Alpages.

L'île noyée

Les fils du Sud
Troisième volet de la chronique algérienne de Ferrandez, ce récit retrace, à travers le regard d'un enfant, les premières années du siècle dans le Sud algérien. Sur cette terre écrasée de chaleur cohabitent, bon an mal an, des communautés venues de tous les rivages de la Méditerranée. Fragile puzzle humain, toujours au bord de l'éclatement, tant "là-bas", le racisme est ordinaire et la haine banalisée. Comme le dit le petit Paul : "Ici, le Français il se croit plus fort que l'Espagnol. L'Espagnol il crache sur l'Italien, l'Italien il dit que le Maltais c'est un chien. Le Maltais il traite l'Arabe de fainéant, et l'Arabe il méprise le Juif. Et encore, des fois, c'est l'inverse."
Aux tensions raciales s'ajoutent les fractures politiques : si le chef de gare croit aux vertus de l'école pour donner à tous des chances égales, le commandant, lui, sait bien que "les Arabes sont inéducables", et qu'il faut "les tenir à leur place". Une vraie poudrière que ce "territoire français" en Afrique du Nord. Pourtant, l'explosion ne se produit pas - pas encore : un jour d'août 14, tous ces "fils du Sud", les Garcia, les Tobalem, les Lakhdar, les Galea et les Durand, quittent, ensemble, les quais d'Alger. Ensemble, ils partent verser leur sang pour cette France qu'ils n'ont seulement jamais vue.

La maison dorée de Samarkand

Brouillard au pont de Tolbiac
Depuis ses débuts en 1969, Jacques Tardi exorcise une horreur obsessionnelle de la guerre et de la violence. Reconnu comme l'un des auteurs les plus influents de sa génération, il a composé un univers baroque et absurde, foncièrement pessimiste, qui tangue d'une guerre à l'autre.
