Les Humanoïdes Associés

Frank Margerin

HP

Le guêpier
Aventurier malgré lui, Stéphane Clément sillonne le monde dans sa complexité géopolitique, de Genève à Bombay, et de Pondichéry à Belfast. Né sous le pinceau de Ceppi dans les années 1970, il est le témoin des sursauts de l'histoire contemporaine. Sans angélisme mais avec lucidité, ces “chroniques d'un voyageur” sont aussi celles des temps présents.

Là-Bas

La main verte
Récit onirique d’un corbeau mélancolique et d’une jeune fille rêveuse, La main verte est paru pour la première fois dans le magazine Métal Hurlant en 1977 avant d’être édité l’année suivante aux Humanoïdes associés. Cette histoire fantasmagorique aux couleurs psychédéliques nous entraîne dans un univers surréaliste où les plantes parlent toutes seules et les maîtres d’hôtel font des mots croisés. Comme dans une suite de rêves, le récit est divisé en plusieurs épisodes qui s’entremêlent subtilement. On retrouve chez Claveloux l’influence de dessinateurs tels que Gustave Doré, l’illustrateur russe Rojankovsky ou encore le danois Kay Nielsen. Le livre est complété par de nombreuses histoires courtes, pour la plupart parues dans le recueil Le petit Légume qui rêvait d’être une panthère et autres récits et dont certaines étaient restées jusqu’alors inédites. Scénarisés et illustrés par Nicole Claveloux, ces récits en noir et blanc au trait fin abondent de détails et de touches d’humour absurde. D’une grande richesse graphique, les dessins de Nicole Claveloux possèdent une force évocatrice intemporelle qui s’imprime immédiatement dans l’imaginaire des adultes comme des enfants.

Le voyage fantastique à nullepart

Tendre chimère
Après la mort du docteur Otomoro et celle du Tapir, Chris et ses compagnons font route vers Limavan, satellite de Saturne où ils comptent reprendre contact avec le gouvernement des planètes majeures. Mais le quotidien des naufragés nest pas pacifié pour autant, puisque Valérie, Quinine et Mara poursuivent leur guerre fratricide pour sattacher lamour de Chris... Le Terrien issu du XXe siècle se montrant incapable de choisir une compagne de couche durable, cest la vie qui se chargera de faire le tri dans ses prétendantes... et de ressusciter dentre les morts un ennemi trop vite oublié... Chris lignore encore, mais rien na été laissé au hasard dans le plan diabolique qui se referme autour de lui.

Recueil des N° 21-22-23-24
Polonius

Rêve de Satin

4 jours pour sauver la planète

Les armées du conquérant
En ce temps-là, les armées du Conquérant partirent pour envahir le monde… On ne savait ni qui ils étaient ni d'où ils venaient, on savait seulement qu'un jour ils seraient là. Parfois ils étaient arrêtés, quelquefois même ils durent reculer, mais toujours et encore ils revenaient… Et les vaincus allaient grossir leurs rangs.

Voyages

La Princesse Elaine (la)

L'Homme est il bon?

Les Paumés

Les faucons des mers

Le mystère des abîmes

la croisière infernale

Nuits d'encre

Cauchemar Blanc

Le bandard fou
Cofondateur du magazine Métal Hurlant et des Humanoïdes Associés, Mœbius a profondément changé l'esthétique de la science fiction et les modes narratifs du genre en bande dessinée. Avec Arzach, Le Major Fatal et des dizaines d'histoires (La Déviation, Cauchemar Blanc…), l'œuvre de Mœbius a eu un retentissement mondial, influençant toute une génération d'auteurs en France, aux États-Unis ou au Japon. Désormais l'univers de Mœbius appartient à l'imaginaire du vingtième siècle. C'est ce que permettent de (re)découvrir ces albums, regroupant les histoires courtes et longues publiées par Moebius pendant sa période Métal Hurlant.

Psychorock

Recueil N° 9-10-11-12

Les clous rouges

La nuit
En 1975, Philippe Druillet perd sa femme Nicole, victime d’un cancer foudroyant. Il exorcise sa peine dans un album au pessimisme assumé, pointant l’absence totale d’échappatoire à l’issue finale. S’ouvrant sur une préface laissant éructer la rage de l’auteur, La Nuit nous décrit un monde en proie aux gangs de motards anarchiques ou autres barbares déglingués et accros à la dope, se dirigeant tous, au cours d’une bataille sanglante pour le « shoot » ultime, vers une fin inéluctable. Les planches grandioses s’y succèdent comme de véritables tableaux dressant le portrait d’une humanité en perdition, folle, désespérée et nihiliste.
Explosive, fantastique, sombre, violente, baroque, outrancière : les adjectifs ne manquent pas pour décrire l’œuvre géniale de Druillet, mais s’il est un album qui se distingue parmi tous ses univers, c’est bien celui-ci. Probablement le plus noir mais aussi le plus fascinant, La Nuit est de ceux que l’on n’oublie pas. À nouveau disponible avec sa couverture originale, cette réédition lui rend hommage.

je m'appelle Jean Cyriaque

John Watercolor et sa redingote qui tue!!


