ZOO

À la chasse aux fripouilles avec Mia London

Quelle canaille chapeautée à drôle d’allure a jeté des boules puantes dans la Station Spatiale Internationale pendant la fête d’Halloween ? La célèbre Mia London aura bien besoin de votre aide pour résoudre cette enquête !



En marge de ce jeu familial, on peut profiter des illustrations délirantes des fripouilles réalisées en 3D par Nikao

En marge de ce jeu familial, on peut profiter des illustrations délirantes des fripouilles réalisées en 3D par Nikao


Mia London et l’affaire des 625 fripouilles est un jeu d’Antoine Bauza et Corentin Lebrat faisant appel à la mémoire et la déduction, pour les enfants à partir de 5 ans. Ils doivent découvrir le coupable d’un crime déterminé aléatoirement. Cela va du dessin de monstres au feutre indélébile à l’engloutissement de tous les bonbons de la Terre. Bref, quelque chose de très grave. Les suspects sont tous reconnaissables grâce à 4 particularités physiques: un chapeau, des lunettes, une moustache et un nœud papillon. Chacun de ces accessoires existe en 5 représentations différentes, reproduites en deux exemplaires et réparties en 4 paquets de cartes. En début de partie, les caractéristiques du coupable sont tirées au sort, face cachée, et mises de côté. Il reste donc dans chaque paquet une seule carte correspondant à l’accessoire de la fripouille et 8 cartes en double exemplaire.




C’est ici que les capacités de mémorisation et de déduction des joueurs sont mises à l’épreuve: chaque paquet est dévoilé avec une pause de 2 secondes entre chaque carte, selon un mode opératoire un peu plus difficile d’accessoire en accessoire. Les cartes chapeau sont ainsi exposées en 4 tas, les lunettes en 3, les moustaches en 2, pour finir par les nœuds papillons présentés sur une seule pile. Une fois un paquet entièrement dévoilé, nos petits joueurs doivent se rappeler quelle image n’est apparue qu’une seule fois et la sélectionner secrètement dans leur carnet respectif. L’exercice est plus compliqué qu’il n’y paraît, la mémoire étant plus habituée à associer des images identiques que d’identifier un objet unique. Petit à petit, nos détectives amateurs voient se dessiner le portrait-robot de leur suspect qu’ils peuvent comparer en fin de partie avec les 4 cartes caractérisant la fripouille (mises de côté). En marge de ce jeu familial, on peut profiter des illustrations délirantes des fripouilles réalisées en 3D par Nikao pour s’amuser à reproduire les différentes combinaisons possibles et en savourer les petits détails amusants.

Haut de page

Commentez

1200 caractères restants