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14-18 - T5 : Le colosse d'ébène (février 1916)

couverture de l'album Le colosse d'ébène (février 1916)

Série : 14-18Tome : 5/10Éditeur : Delcourt

Scénario : CorbeyranDessin : Loïc Chevallier, Etienne Le RouxColoriste : Jérôme Brizard, Loïc Chevallier

Encreur : Jérôme Brizard

Collection : Histoire et Histoires

Genres : Aventure, Historique

Public : Tout public

Prix : 14.50€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs4.5
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Le synopsis de l'album Le colosse d'ébène (février 1916)

Verdun, 21 février 1916. L’artillerie allemande débute le pilonnage systématique du secteur dans le but de « saigner à blanc l’armée française ». Parmi les renforts qui affluent, la présence de tirailleurs sénégalais crée des tensions dans la troupe. C’est dans ce contexte que la compagnie commandée par Armand est envoyée au fort de Douaumont, sur le point d’être pris par l’ennemi…!


La critique ZOO sur l'album Le colosse d'ébène (février 1916)

Le cinquième tome de cette série aux débuts prometteurs ne déroge pas à la règle. La fresque historique de huit hommes originaires du même village et enrôlés dans le premier conflit mondial apporte son lot de narration exigeante et un dessin extraordinaire sur l’enfer de Verdun.

Cinquième volet tonitruant des aventures de huit amis du même village emportés par le tourbillon de la Première Guerre mondiale. Après avoir survécu à la bataille de la Marne, les voilà dans l’enfer de Verdun en ce mois de février 1916. Denis et Arsène, le rural lourdingue aux propos racistes lors de sa rencontre avec des tirailleurs sénégalais, vont connaître un tragique destin...

14-18 T.5

Cette longue fresque prévue en dix tomes sur le destin de huit villageois dans la Der des Ders se poursuit sous les meilleurs auspices dans un cinquième tome qu’on dévore en quelques dizaines de minutes. Le récit de Corbeyran est toujours aussi charpenté et les mauvaises surprises sont légion dans le quotidien de ces crève-misère.

La veine graphique d’Etienne Le Roux est sans conteste une des plus esthétique et soignée de la bande dessinée franco-belge. Expressions réalistes, trait fictionnel et romantique ainsi que gros travail sur la lumière apportent une superbe indéniable à ce tome à mi-parcours. La mise en couleur très soignée de Loïc Chevallier apporte un supplément visuel appréciable.

Que vont devenir les huit amis, ou ce qu’il en restera au final ? La boucherie aura-t-elle raisons des préjugés tenaces et injustes d’Arsène ? Armand, le chef d’unité, réussira-t-il à garder la tête froide face à l’horreur de ce qu’il endure heure après heure avec ses hommes ? Quand le jour ressemble à la nuit et la veille au lendemain, difficile de rester mobilisé...


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