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Petrograd

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 7 critiques Presse

3.5

Le 27/6/2017

Ingrédient classique du récit historique, l’introduction d’un héros fictif au milieu de personnages et d’événements réels est ici bien maîtrisée, l’intrigue restant centrée sur le destin tourmenté de la ville de Petrograd.

5.0

Le 27/6/2017

En 1916, à Petrograd, plusieurs individus se retrouvent au sein d'une conspiration visant à éliminer le moine Raspoutine. Dépaysement assuré avec cette histoire qui vous fera vivre les prémices de la révolution russe et qui vaut le détour !

4.0

Le 27/6/2017

Une très belle rencontre que je vous conseille vivement !

5.0

Le 27/6/2017

Au fil de ces quelque 250 pages aux teintes sépia et au trait accrocheur, Philipp Gelatt construit un fascinant thriller d’espionnage dans une période historique plus que troublée.

4.0

Le 27/6/2017

Amateur des James Bond, des explosions et de l'action non-stop, passez votre chemin. Ce comic-book est une petite perle d'ambiance qui montre le boulot d'espion sous un autre jour. Lancinant, haletant, on n'en ressort pas indemne.

4.0

Le 27/6/2017

Petrograd est un tour de force : cette BD est à la frontière de la littérature russe, du cours d’histoire et du polar. Une vraie réussite destinée aux amateurs de belles bandes dessinées.

4.5

Le 3/5/2018

Petrograd, comment est vraiment mort Raspoutine

La mort de Raspoutine est à elle seule un roman. Dans Petrograd, sur des bases historiques, Philip Gelatt et Tyler Crook revisite cet épisode sans équivalent de l’histoire du XXe siècle.

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Commentaire et critiques (1)

note de la critique de SuperMax

3.5

Au cœur de ce complot, Cleary, espion de l'Empire d'Angleterre. Avec lui nous traversons la ville à un moment de transition, entre le mouvement communiste, la police secrète et la vie mondaine, Petrograd est en ébullition. Philip Gelatt et Tyler Crook proposent un scénario court mais bien renseigné, ce qui donne du réalisme à leur récit. L'absence physique de Raspoutine est compensée par son omniprésence dans les discussions et dans la mise en place du complot.

Le dessin , simple, manque parfois de profondeur mais la mise en couleur sanguine compense et donne un cachet et une ambiance froide au scénario avec des personnages travaillés aux traits typés.

Le 13/10/2013 à 10h44