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Vois comme ton ombre s'allonge

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

3.0

Le 27/6/2017

L’homme retrouvé sur la plage est un écrivain qui n’écrit plus. Durant son séjour, il ne raconte plus d’histoires, il dessine. Des fragments de récits remontent petit à petit : les siens, ceux d’un autre, un conte ? La réponse dans cette belle histoire de deux moments perdus…

4.0

Le 27/6/2017

Dès les premières pages de Vois comme ton ombre s’allonge, Gipi donne la mesure du séisme qui secoue son héros - qui semble très inspiré de lui-même. C’est la crise d’un quinquagénaire qu’il décrit là.

4.0

Le 27/6/2017

Dans une clinique psychiatrique, un écrivain ayant perdu l'inspiration essaie de faire le tri entre ses pensées et les nombreux témoignages dont il fut témoin. Un nouveau récit de Gipi, passionnant...

5.0

Le 27/6/2017

« Intensification des états hallucinatoires... désagrégation de la réalité... ­dépersonnalisation... » Un cas de schizophrénie subite peut-être[...] Le dia­gnostic flotte encore, mais Silvano Landi s'est perdu dans un outre-monde dont nul n'a la clé. Avant d'être interné, Landi était un écrivain en panne d'histoires ; depuis, il dessine à l'infini un arbre (décharné) et une station-service (au milieu de nulle part). A quoi cela renvoie-t-il ? Et comment, du présent, bascule-t-il dans un passé lointain, quand son grand-père envoyait, depuis les tranchées de la Grande Guerre, [...]

3.5

Le 23/1/2018

Cet ouvrage est un poème illustré. L’auteur varie les styles graphiques, le rythme et la période du récit. Un homme qui semble avoir perdu la raison, vogue dans ses réminiscences, prisonnier de lui-même et du souvenir d’un aïeul qui a commis l’irréparable pour sauver sa propre vie. Un acte réalisé mais non assumé, dans des conditions extrêmes de guerre, quand la peur tenaille et que seul le souvenir de l’aimée permet de discerner dans un ciel de cendres, à l’âcre odeur de poudre qu’éclaire le crachement des armes, la poésie d’une lueur comme [...]

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