ZOO

Moi, Assassin

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

4.5

Le 27/6/2017

Après nous avoir subjugué avec son époustouflant L’Art de voler Antonio Altarriba revient sur un tout autre talent, celui de tuer. Bienvenue dans un album où mort et beauté ne font qu’un.

4.0

Le 27/6/2017

Professeur d’Histoire de l’Art, Enrique Rodriguez Ramirez est fasciné par la violence, et plus précisément par la représentation de la cruauté dans la peinture occidentale. Ses recherches l’amènent à s’intéresser de près aux pulsions morbides et mortifères qui, selon lui, animent tout un chacun. Sans doute est-ce dans cette fascination que se trouve l’origine de sa vocation de tueur. L’assassinat élevé au rang d’art. Tel est le postulat de cet album dans lequel Antonio Altarriba se permet pas mal d’outrances, à l’image d’un héros qui varie ses exécutions. Ce personnage [...]

5.0

Le 27/6/2017

Dans une grande université du pays basque, un professeur d'histoire de l'art pratique le meurtre sanglant, expression ultime de sa créativité. Un polar noir affreusement accrocheur, par deux auteurs espagnols impressionnants de maîtrise.

5.0

Le 27/6/2017

Tuer n'est pas un crime. Tuer est un art. Pour Enrique Rodriguez Ramirez, professeur d'histoire de l'art à l'université du Pays basque, la théorie ne vaut que par la pratique qui la valide. « Je tue peu, dit-il. Un ou deux crimes par an. » A 53 ans, cet universitaire dirige un groupe de recherche sur « la douleur et le supplice dans la peinture occidentale ». Il est au zénith de sa carrière tout en ayant conçu, puis exécuté, trente-quatre assassinats, sans jamais être soupçonné. De purs exercices de style dans le registre du crime gratuit. Enrique affirme tout au long [...]

3.5

Le 2/4/2018

Moi, assassin, pour l’amour de l’art

Il est professeur d’Histoire de l’Art au Pays Basque, en Espagne. Son domaine de prédilection, l’art et la cruauté, mais là où il excelle c’est dans le meurtre, de préférence gratuit, qu’il signe comme une œuvre. Moi, assassin est un roman qui flirte avec la perfection. Antonio Altarriba est un conteur angoissant car authentique dans son récit très crédible. Son Enrique tueur devient réel sous le crayon de Keko qui ne lâche sur ses noirs et blancs que quelques taches rouges sanglantes.

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