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Magritte, Ceci n'est pas une biographie

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 4 critiques Presse

3.5

Le 27/6/2017

Par un beau jour, Charles Singulier, craque pour l’achat d’un chapeau melon. Arrivé chez lui, il n’arrive plus à l’ôter de sa tête. Un personnage masqué lui apparaît et lui apprend que ce couvre-chef appartenait à Magritte et qu’il ne pourra s’en défaire que s’il perce le secret du peintre. Voilà une bien belle balade ludique et, évidemment, surréaliste que nous proposent Vincent Zabus et Thomas Campi à travers son immense oeuvre.

3.5

Le 25/10/2017

Charles Singulier, un petit commis de bureau, s’offre un chapeau melon pour célébrer la promotion qui lui sera annoncée dans quelques jours. Mais voilà, le couvre-chef a appartenu à René Magritte et son nouveau propriétaire ne pourra l’enlever sans avoir percé les secrets du maître. Du coup, il se voit plongé dans un univers fait de feuilles-arbres, de miroirs facétieux, de trains qui sortent des cheminées et de personnages suspendus dans les airs. Dans Magritte, Ceci n’est pas une biographie, Zabus présente moins la vie d’un peintre que la quête d’un homme jusque là [...]

4.0

Le 25/10/2017

Un homme achète sans le savoir le chapeau melon de René Magritte, et se trouve plongé dans l'univers du peintre. Une biographie très réussie, gentiment absurde et réellement instructive. Et graphiquement épatante.

4.5

Le 23/1/2018

Magritte étant un de mes peintres favoris, cette biographie qui n'en est pas une (voir le titre) ne ^pouvait que m'intéresser. Bien m'en a pris car Campi et Zabus ont réalisé une BD brillante qui a sa propre musique tout en respectant à la lettre la vie du peintre. Pour parler de Magritte ils ont choisi de nous conter la singulière aventure d'un personnage falot et insignifiant : Charles Singulier. Celui-ci a acheté un chapeau melon au marché aux puces, une extravagance pour lui. Mais, rentré chez lui, il découvre qu'il ne pas l'enlever de sa tête… et il va apprendre [...]

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