ZOO

Jack Martini, Kastah la victoria

couverture de l'album Jack Martini, Kastah la victoria

Éditeur : Shockdom

Scénario : Niccolò Gangi De Thierry, Riccardo Mastrocola, Caterina Migale, Fabio VerdaDessin : Francesco Chiappara

Collection : FUMETTI CRUDI

Prix : 15.00€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    2.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Jack Martini, Kastah la victoria

Depuis un accident survenu dans son enfance, Giacomo souffre de TDI et son identité a généré la personnalité dominante de Jack et de 39 autres personnes bizarres. Toutes ces personnalités partagent le même corps, celui de Giacomo, dont l'identité a été mise de côté par les autres et se retrouve à présent enfermée dans un recoin de son esprit. L'excentricité et la verve de Jack et de ses autres personnalités leur a permis de se faire engager auprès de la police de la ville et, accompagnés de l'inspecteur Tagliaferri, ils résolvent les cas les plus difficiles.


La critique ZOO sur l'album Jack Martini, Kastah la victoria

Ovni en vue ! Jack Martini fait parti de ces albums ambitieux et… à vrai dire un peu inclassables.

On se laisse volontiers tenter tant la trame est intrigante. Voyez plutôt : depuis un accident survenu dans son enfance, Giacomo souffre de TDI et son identité a généré la personnalité dominante de Jack et de 39 autres personnes bizarres. Un brin perturbant, non ? Cela étant, l’excentricité et la verve de Jack et de ses autres personnalités leur ont permis de se faire engager auprès de la police de la ville. Avec l’inspecteur Tagliaferri, ils résolvent les cas les plus difficiles.


Aussi surprenant que désarçonnant 


S’il faut bien reconnaître une qualité aux auteurs italiens, c’est l’originalité. Cela dit, par moment, on s’y perd un peu avec tous 
ces Giacomo d’autant que tout s’enchaîne très vite. Le récit est très dynamique bien aidé par un dessin vif, léché et expressif qu’il convient de saluer.



Jack Martini, Kastah la victoria

Jack Martini, Kastah la victoria
© Shockdom, éditions 2021


Au final, lorsqu’on referme cet album, on reste un brin interloqué, mais conscient d’avoir pris part à une drôle d’expérience scénaristique. La promesse était alléchante, le résultat laisse un peu sur notre faim. Si une suite doit voir le jour, peut-être permettra-t-elle de nous y retrouver ? L’œuvre mériterait elle aussi de se dédoubler pour répondre à nos questions...


Article publié dans le mag ZOO n°84 Novembre-Décembre 2021

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants