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Jour J - T34 : Le Dieu vert

couverture de l'album Le Dieu vert

Série : Jour JTome : 34/51Éditeur : Delcourt

Dessin : Lajos FarkasColoriste : Thorn

Encreur : Catherine Paynet

Collection : Néopolis

Genres : Historique

Public : Tout public

Prix : 14.95€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs2.8
    2 notes pour 0 critique

Le synopsis de l'album Le Dieu vert

1475. L'Afrique des royaumes maliens a saisi sa chance et est devenue une grande puissance grâce à l'or de Guinée. Ce sont justement ces montagnes d'or qui intéressent Jeanne et Innana.


La critique ZOO sur l'album Le Dieu vert

Le Dieu vert offre une seconde aventure aux deux guerrières amantes, Jeanne et Innana, que nous avons découvertes lors de la Ballade des pendus où l'Europe décimée par la peste a laissé place au Mali débordant d’or comme maître du monde. Toute cette richesse attire des convoitises dont celle de Jeanne et d’Innana. Cet album explore un nouvel ordre du monde médiéval qui déroge un peu au principe de Jour J.

Deux femmes parcourent le désert malien en 1475 à dos de chameau avant d’arriver dans une auberge. Là, les hommes refusent de leur parler et de les servir car elles sont des femmes. Rapidement les épées sont tirées, le combat engagé et faute de combattant efficace va vite tourner court face au deux expertes que sont Jeanne et Innana.

Ce second volume consacré à l’affaissement de l'Europe suite à la grande peste se révèle être une simple aventure de deux mercenaires. Si les aventures de ces deux femmes sont prenantes et plaisantes à lire, on regrette tout de même cet éloignement de ce qui fait l'ADN de la série Jour J, c’est à dire voir la naissance d’univers parallèle à partir d’un moment de basculement.

Le dessin particulièrement lumineux transporte de décors en décors de façon crédible de l'Europe au Mali en passant par le futur Dakar. Chaque lieu a son identité et son atmosphère propre, très identifiable, tandis que les scènes de combat particulièrement dynamiques rendent bien compte du talent des jeunes guerrières.

À lire comme une bonne aventure de deux guerrières, Le Dieu vert semble se décrocher du canevas historique qui faisait toute la saveur de Jour J.

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