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La Rose écarlate - Missions - T2 : Le Spectre de la Bastille 2/2

couverture de l'album Le Spectre de la Bastille 2/2

Série : La Rose écarlate - MissionsTome : 2/10Éditeur : Delcourt

Scénario : Patricia LyfoungDessin : Jenny

Collection : Jeunesse

Genres : Aventure, Fantastique, Historique

Public : À partir de 9 ans

Prix : 10.95€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Le Spectre de la Bastille 2/2

Maud et Guilhem, alias la Rose écarlate et le Renard, connaissent maintenant les responsables des enlèvements de jeunes filles rousses... Mais comment attraper ces ombres qui disparaissent en un éclair ? Et comment protéger Adèle, l'amie de Guilhem, dont la chevelure flamboyante attire ces maudites créatures ? Nos deux héros ont encore fort à faire dans cette mission périlleuse et pleine de mystères.


La critique ZOO sur l'album Le Spectre de la Bastille 2/2

Décidemment il ne fait pas bon être rousse à Paris ces derniers temps. Alors que les disparitions de jeunes femmes rousses se multiplient dans la capitale, la Rose Ecarlate et le Renard ont fort à faire pour résoudre le mystère. Entre figures fantomatiques, gardes royaux et protection des innocents, la tâche des deux justiciers s’annonce compliquée. Cet album, certes comique et léger, frôle cependant l’inconsistance.

En enquêtant sur les disparitions des jeunes filles, Maud et Guilhem remontent la piste jusqu’à la Bastille ainsi qu’à une mystérieuse secte. De plus, l’affaire prend une tournure personnelle quand Adèle, l’amie de Guilhem se fait enlever à son tour. Les deux amoureux vont devoir déjouer rapidement les plans de cette secte dont les membres semblent aussi insaisissables que des fantômes.


Situé entre le tome 6 et 7 de La Rose Ecarlate, cet album conclut un spin-off en deux tomes. Si le premier tome pouvait avoir éveillé un certain intérêt, ce dernier album nous fait nous interroger sur l’utilité même de ce dyptique. Le mélange entre Lady Oscar, Fanfan la Tulipe, et une sorte de Batman du XVIIIe siècle orchestré par Patricia Lyfoung n’est vraiment pas des plus judicieux et n’apporte à l’album qu’une grande impression de n’importe quoi.

D’un point de vue des dessins, on aime ou on n’aime pas le style de Jenny. Le fait est qu’ici encore, nous pouvons avoir plus l’impression de regarder un dessin animé que de lire une bande dessinée. Les gesticulations et mimiques des personnages, combinées aux couleurs artificielles nous feraient presque entendre les bruitages.

Malgré tout, Le spectre de la Bastille trouvera sans aucun doute un public attentif chez les jeunes filles de 9-13 ans.

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