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couverture de l'album Le Sang d'Odin

Série : Le Crépuscule des dieux Tome : 8/9Éditeur : Soleil

Scénario : Nicolas JarryDessin : DjiefColoriste : Olivier Héban

Collection : Celtic

Genres : Fantastique

Public : À partir de 12 ans

Prix : 13.95€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    3.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis de l'album Le Sang d'Odin

Yngvild, la porteuse d’une épée qui jadis fut celle de Siegfried, tente de rallier le domaine des Nornes, espérant y trouver des réponses à ses questions ainsi que le moyen de sauver Bjarnulf de la terrible malédiction qui pèse sur lui.

Afin de protéger les Völsung du fléau qui ravage Elfheim, Ewir et le roi elfe Iduril sont obligés de franchir le domaine de Njord qui a perdu la raison depuis la mort de ses enfants.

Sur Mannheim, Phocas découvre avec horreur que l’hiver a étendu son emprise sur tout l’empire d’Orient... Lentement les destinées éparses se rejoignent, à nouveau la malédiction de l’anneau mène la danse.


La critique ZOO sur l'album Le Sang d'Odin

Alors qu’Yngvild tente d’atteindre le domaine des Nornes, Phocas rejoint sa nouvelle affectation en Orient pour y découvrir que l’hiver terrible est là, lui aussi. Ewir et Iduril, quant à eux, doivent franchir le domaine du fou Njord pour sauver les descendants d’Odin. La saga du Crépuscule des Dieux continue, mêlant irrémédiablement les destins.

Cet album ne se démarque pas du principe scénaristique, érigé presque en règle, de suivre plusieurs récits en même temps. Depuis le Ragnarök, l’équilibre qui régit les neuf mondes est entrain de se rompre, bouleversant la vie des différents personnages. Odin n’est plus et Ygdrasil est terriblement fragilisée. Mais comme souvent l’espoir, cette force merveilleuse, est à l’œuvre guidant les pas des différents protagonistes.

Les chemins se croisent et les communautés se succèdent. Mettant en avant les actions qui se déroulent au même moment, le découpage veut sûrement donner une unité d’action mais parfois perd un peu le lecteur à causes de transitions pas toujours évidentes. Cette petite difficulté de lecture ne doit cependant pas nous empêcher de découvrir avec plaisir ce huitième tome. Jarry, au travers d’une mythologie nordique maitrisée, nous propose une intrigue qui avance à petits pas mais qui ne lassera pas les lecteurs de la première heure.

Le dessin et les couleurs de Djief font merveille. Des visages expressifs, des décors et des tenues aux détails précis permettent de donner une certaine réalité au récit. Ce réalisme lui confère un souffle épique tout particulier.

Une suite efficace de la saga de l’anneau des Nibelungen.

 


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