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Le jour où... - T1 : Le jour où le bus est reparti sans elle

couverture de l'album Le jour où le bus est reparti sans elle

Série : Le jour où...Tome : 1/7Éditeur : Bamboo

Scénario : Béka, Bertrand Escaich, Marko, Caroline RoqueDessin : Marko

Collection : Humour

Genres : Récit de vie

Public : Tout public

Prix : 15.90€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    3.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis de l'album Le jour où le bus est reparti sans elle

Le jour où le bus est reparti sans elle, Clémentine se retrouve coincée dans une singulière épicerie de campagne, loin de tout... mais jamais aussi près de trouver ce qu’elle cherche : des réponses à ses doutes existentiels. Les histoires zen d’Antoine, l’incroyable épicier, l’expérience de Chantal l’écrivain, le passage de Thomas le PDG-randonneur, vont irrémédiablement changer la vision de la vie qu’avait Clémentine. Comme chacun de ces personnages, la jeune femme va essayer de trouver son chemin vers le bonheur. Même si, comme tous les chemins, il emprunte parfois d’étranges détour...


La critique ZOO sur l'album Le jour où le bus est reparti sans elle

Clémentine, l’héroïne du Jour où le bus est parti sans elle, est une jeune femme qui se cherche. Loin d’être mal dans sa peau, elle a un travail, un petit logement douillet et le fait de vivre seule ne semble jamais la préoccuper. En fait, elle cherche tout simplement un sens à sa vie. En à peine quelques pages, nous sympathisons avec elle et l’accompagnons dans sa quête à la fois tendre et drôle.

Inscrite pour participer à un séminaire visant à « reconnecter notre moi profond aux énergies du monde », Clémentine profite de l’arrêt du bus devant une improbable épicerie bio pour aller aux toilettes. Le bus repart sans elle. Antoine, le gérant du magasin, va lui proposer gîte et couvert.

L’occasion de faire connaissance et Antoine ne manque pas de ressources au niveau conversation. Mine de rien, il illustre sa vision du monde avec des petites histoires aux allures de paraboles. Quand arrivent une amie de longue date puis un jeune PDG devenu randonneur, l’éphémère communauté qui se forme sous nos yeux est bien plus probante que celle du groupe parti sans Clémentine.

Le pseudo de Beka associe un couple de scénaristes, Bertrand Escaich et Caroline Roque. Certes, on a coutume de dire que les bons sentiments ne font pas forcément les bons livres, mais il faut reconnaître que cela peut avoir un effet positif pour peu que l’on soit un peu déprimé. Par les temps qui courent, le regain d’optimisme sur la nature humaine que peut susciter la lecture de cet album ne peut être que bienvenu.

Le dessin tout en simplicité de Marko, superbement mis en couleur par la très belle palette de Maëla Cosson achève de rendre cet album très attachant. Mention spéciale pour la fort jolie couverture, qui nous invite à partager ces petits moments de bonheur tout simples.

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