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Le Magicien de Whitechapel - T1 : Jerrold Piccobello

couverture de l'album Jerrold Piccobello

Série : Le Magicien de WhitechapelTome : 1/3Éditeur : Dargaud

Scénario : BennDessin : BennColoriste : Pierre Matterne

Genres : Aventure, Fantastique

Public : À partir de 16 ans

Prix : 15.99€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.5

    Dessin

    2.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis de l'album Jerrold Piccobello

Londres, 1887. Jerrold Piccobello, magicien parmi les plus prestigieux du royaume britannique, se fait une nouvelle fois remballer d'une audition comme un malpropre. Désespéré, l'homme revient sur les lieux de son enfance, là où tout a commencé et où il fera une rencontre pour le moins inattendue... Premier tome du Magicien de Whitechapel, une trilogie qui oscille entre l'aventure humaine et le récit fantastique.


La critique ZOO sur l'album Jerrold Piccobello

Fin XIXème siècle, le magicien Piccobello, grand parmi les grands, se fait jeter lors d’une énième audition. Errant dans Londres, il finit par entrer dans un théâtre abandonné, le lieu qui a vu naître sa vocation. Les souvenirs affluent mais la revue de sa vie laisse le lecteur un peu désabusé.

Le récit place d’entrée de jeu le lecteur comme interlocuteur du personnage principal. Ce magicien, de talent apparemment, est sur la pente descendante. Il ne décroche plus de spectacle depuis la mort de son ami et mentor. Cet homme défait va raconter sa vie et les principaux événements qui vont conduire à la disparition de son ami. Sur un ton nostalgique, parfois rieur mais toujours un peu triste, les années défilent.

Sans fard, l’existence du magicien de Whitechapel se révèle dans sa complexité et ses nuances. La cruauté est là, bien sûr, mais la bonté aussi, quelques fois. Le lecteur se laisse dériver le long de cette histoire sans grandes surprises. Ce récit calme s’emballe seulement lors des dernières pages. Avec un délire inopportun pour cet album, la narration ouvre grand la porte pour la suite.

Sans trop de détails, le trait offre des décors peu fouillés, tout comme les traits des personnages. L’atmosphère et les ambiances priment, offrant un cadre idéal pour les sentiments du personnage rendus par impressions diffuses plus que par le réalisme des traits des personnages. Ce trait particulier s’avère très réussi.

Ce premier tome à la fin au goût bizarre ouvre une histoire qui doit encore trouver son rythme…

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Commentaire et critiques (1)

Sur les premières planches lisibles, le décors londonien est envoûtant.

Le 04/03/2015 à 20h50