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couverture de l'album Vivre pour l'éternité

Série : Le Magicien de WhitechapelTome : 2/3Éditeur : Dargaud

Scénario : BennDessin : BennColoriste : Pierre Matterne

Genres : Aventure, Fantastique

Public : À partir de 16 ans

Prix : 15.99€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    3.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis de l'album Vivre pour l'éternité

Le Magicien de Whitechapel : une pièce en trois actes signée Benn, dans le Londres de la fin du XIXe.

Dans ce tome 2, l'illusionniste Jerrold Piccobello a les meilleurs tours dans son sac : l'immortalité et la compagnie du Diable ! Voyages en Europe par les chemins des cimetières, répétitions dans la chambre 69 des Enfers et, clou du spectacle, représentation à l'occasion du Jubilé de la Reine Victoria ! Mais chaque pièce a son revers, même si elle est truquée, et le maître des illusions sera toujours le Diable...


La critique ZOO sur l'album Vivre pour l'éternité

Grâce à sa récente immortalité, Jerrold va à présent empoigner la vie à deux mains. Tout lui est offert : il se laisse griser et prépare même un spectacle pour la Reine Victoria. Emporté avec le héros dans cette avidité d’expériences, le lecteur ne tardera pas à découvrir le vrai prix d’un contrat signé avec une personne pourvue de cornes…Ce second tome, plus enlevé que le premier, suscite l’adhésion !

Jerrold va peu à peu comprendre que Rabouin, son acolyte cornu, lui cache quelque chose. D’abord Jérold va profiter de sa longévité pour peaufiner ses tours de magie qui deviennent de plus en plus impressionnants. En suite, il trouve vite l’amour auprès d’une petite arnaqueuse, rencontrée lors d’une sortie avec Rabouin. Entre entrainements, invitations et vengeance, les jours s’écoulent dans un bonheur total.

Ce deuxième opus plus enlevé que le précédent offre une lecture plus savoureuse. L’argot est un régal, comme nombre de trouvailles, dont les chemins des cimetières qui permettent de voyager loin et vite, la chambre 69 pour les délices, la vie domestique du diable. L’ensemble amuse sans surprendre tout à fait… Finalement, ô surprise, le diable n’est pas franc du collier : ce tome finit sur une note amère pour Jerrold.

Le dessin fait encore davantage la part belle aux atmosphères dans des tons sombres. L’action se déroule essentiellement de nuit et dans les Enfers, ce qui lui sied parfaitement. Benn nous sert des trombines pas piquées des vers et des courbes exceptionnelles pour les compagnes de Rabouin.

Avec ce pacte dangereux, Le Magicien de Whitechapel continue sa route animée dans les pas du diable…

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