La Chine ancienne. Maliang n’a pas la chance d’aller à l’école comme les autres enfants de son âge. Pour survivre, il est obligé d’exercer le dur métier de bûcheron aux côtés de son grand-père. Mais dès qu’il a un peu de temps libre, le jeune garçon s’adonne à sa véritable passion : le dessin. Il dessine sur toutes les surfaces qui se présentent à lui, des murs de sa chambre aux rochers des rivières, mais pas sur du papier car cette matière coûte cher… Un jour, un enfant riche et arrogant met Maliang au défi de mieux dessiner que lui. Un vieil homme assistant à la scène lui prête son pinceau pour qu’il puisse relever le défi. Le dessin de Maliang fait l’unanimité et le vieil homme lui offre le pinceau en récompense. Ce dernier met toutefois Maliang en garde : « Continue à assouvir ta passion mais à présent, fais très attention à ce que tu dessines… »