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Le Temple du passé - T2 : L'Envol T.2

couverture de l'album L'Envol T.2

Série : Le Temple du passéTome : 2/2Éditeur : Ankama

Scénario : HubertDessin : Etienne Le Roux

Collection : Les Univers de Stefan Wul

Genres : Science-Fiction

Public : À partir de 16 ans

Prix : 14.90€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
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Le synopsis de l'album L'Envol T.2

De tout un équipage, ils ne sont plus que deux… Échoués sur une planète inhospitalière, Jolt et Massir découvrent que leur vaisseau a été happé lors de son crash par une monstrueuse créature marine. Généticien de génie, Jolt lance le pari fou de faire muter la bête pour la contraindre à émerger. Mais si l’expérience fonctionne, que trouveront les deux hommes sur la terre ferme ? Qui captera leur signal de détresse, et quand ?


La critique ZOO sur l'album L'Envol T.2

Jolt et Massir, les deux derniers survivants de leur vaisseau, sont échoués dans le corps d’un monstre marin. Ils doivent le faire évoluer rapidement pour pouvoir sortir à l’air libre. Une fois dehors, ils pourront enfin essayer de redécoller de cette planète. La fin de leur épopée haletante surprend !

Jolt et Massir pensaient enfin envisager leur retour avec plus de sérénité et en avoir fini avec la tension dûe à l’enfermement dans le monstre marin. Mais comme rien n’est simple, moments inattendus et autres rebondissements les attendent. Aux côtés de ces deux héros, qui volent de scènes d’action en nouvelles informations, on suit l’apparition et l’évolution rapide d’une nouvelle espèce issue des diverses manipulations génétiques qu’ils ont effectuées pour survivre. Peu à peu, on en apprend davantage sur leur civilisation et son lien avec l’humanité.

Durant tout cet album au rythme idéal, la transformation en profondeur de la relation entre Massir et Jolt s’impose en douceur, tant pour eux que pour le lecteur. Ce mélange d’aventure, d’histoire et de passion donne un album dont on regrette d’arriver si vite au bout des pages. Heureusement la conclusion surprenante et laissant l’imagination aux commandes nous permet de continuer l’aventure une fois le livre refermé. Intelligemment menée, cette adaptation est un bel hommage à l’œuvre de Stefan Wul, dévoilée dans toute sa modernité.

Le dessin classique, entre codes de l’antiquité dans les traits et ceux des années 50 dans les couleurs et décors de la planète, est en totale adéquation avec l’histoire. Le choix de ce mélange, surprenant au départ, finit par s’imposer comme une évidence.

Ce diptyque commencé avec succès se clôt en apothéose.


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