ZOO

Paco les mains rouges - T1 : La Grande Terre

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 11 critiques Presse

4.0

Le 27/6/2017

Prévu en deux épisodes, ce récit de Fabien Vehlmann s’inspire de Papillon d’Henri Charrière. Mais, avec la finesse dont il est coutumier, le scénariste emmène l’histoire vers différentes contrées.

4.0

Le 27/6/2017

Un premier tome aussi prenant que violent dans un bel album toilé.

3.5

Le 27/6/2017

Parce qu'il a tué un homme au coeur d'une forêt enneigée, Paco, jeune instituteur a senti le souffle du couperet passer sur sa nuque.

4.5

Le 27/6/2017

Fermé en 1946, le bagne de Saint Laurent Des Maroni, à l’extrême ouest de Cayenne, accueillit dans ses murs bon nombre de repris de justice, les fagots. Paco est à l’image de l’un d’entre eux, prêt à tout pour survivre. Un portrait fictif sans concession.

3.5

Le 27/6/2017

L’on peut être condamné pour meurtre, envoyé au bagne de Cayenne à perpétuité mais malgré tout se sentir heureux de son sort !

4.0

Le 27/6/2017

Le bagne à Cayenne, on se souvient de Papillon, bien sur, de cette impression douloureuse, ces hommes qui s'éteignent, qui crèvent dans l'oubli...

4.5

Le 27/6/2017

Paco les mains rouges est une bande dessinée comme on voudrait en voir plus souvent : elle sait sortir des sentiers battus sans se perdre dans l’allusion fumeuse. Un excellent premier tome sur la vie au bagne de Cayenne qui donne envie de lire la suite.

5.0

Le 27/6/2017

Les forçats éprouvent des pulsions violentes et notamment sexuelles,dans ce monde où il n'y a que des hommes et où la loi est celle du plus fort. Eric Sagot illustre de ton trait volontairement dépouillé et presque naïf cette épopée.

4.0

Le 27/6/2017

Paco est condamné au bagne en Guyane à perpétuité. Un sujet fort, traité avec intelligence et finesse

4.0

Le 27/6/2017

Paco Les mains rouges, dans l'enfer de Cayenne

Aucun voyeurisme n'est à déplorer. L'album est tout en sépia, couleur sombre du souvenir qui atténue l'horreur du récit, lui conférant une pudeur bienvenue.

3.5

Le 1/5/2018

Paco les Mains rouges, un bagnard sans espoir à Cayenne

Le destin d’un bagnard, celui de Paco les Mains rouges envoyé à Cayenne pour une relégation à vie, Fabien Vehlmann raconte son histoire et offre à Eric Sagot l’occasion de mettre en évidence son talent et sa ligne claire.

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants