Le synopsis de l'album R.U.S.T. T.3. White Strike
Rayée de la surface de la Terre par des robots géants, l’humanité place son destin entre les mains des pires criminels… La conclusion d’une trilogie explosive, sublimée par le graphisme de Nesskain.
La Robots Units Shock Team a volé en éclats. Pendant que Draxler est rappelé à Zemrude pour défendre la ville contre Firecracker, Angel et Becky sont de retour auprès de Furinkan. Le moment est venu pour eux d’apprendre les secrets du C.S.T.U., des Robots Units et des S-Cats, avant de partir en Antarctique pour l’ultime bataille. Une véritable mission-suicide menée contre White Strike, le plus ancien et le plus puissant des envahisseurs…
La critique ZOO sur l'album R.U.S.T. T.3. White Strike
Les dernières opérations contre les S-Cats ont été un échec cuisant. L’unité qui devait annihiler ces créatures géantes à l’aide de robots géants a volé en éclats et le professeur Furinkan qui menait l’opération devient la cible privilégiée de sa propre équipe ! Affrontements et secrets sont au programme de cette fin de trilogie explosive.
C’est le chaos ! Becky court pour échapper à Angel qui n’a d’autre but que de la tuer. Pidge, quant à lui, est bien décidé à faire payer Furinkan quoiqu’il en coûte tandis que Draxler s’est posté à l’entrée de la plus grande des métropoles pour la défendre contre la rage de Pidge.
Ce troisième album vient clore une trilogie très futuriste. Le scénario de Luca Blengino nous mène dans les tréfonds de la Terre et fait découvrir les racines des S-Cats et du C.S.T.U. L’intrigue répond éclaire les actes de Furinkan mais laisse des zones d’ombres à explorer. La relation entre Angel et Becky est ici mise au second plan pour laisser la place aux différents combats et au personnage retors que se révèle être Furinkan. Si les combats prennent le pas sur la dimension psychologique du récit dans ce tome, très légèrement en dessous des précédents, cette fin de série reste cependant de la très bonne science-fiction.
Le dessin de Nesskain continue à faire mouche grâce au dynamisme des pages et à la maîtrise des combats. Le jeu riche des couleurs impacte immédiatement l’œil. L’horreur, la dureté des affrontements et des matériaux le disputent à la féerie des mouvements et des formes des combattants. On se laisse parfois griser par cette déferlante de face-à-face musclés.
Cette fin de cette trilogie offre une beau point final à cette série SF au dessin bluffant.
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