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Ultime Frontière - T1 : Episode 1

couverture de l'album Episode 1

Série : Ultime FrontièreTome : 1/4Éditeur : Dargaud

Scénario : LéoDessin : IcarColoriste : Icar

Genres : Science-Fiction

Public : À partir de 12 ans

Prix : 11.99€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    1.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Episode 1

Sur Tau Ceti 5, planète ressemblant fortement à la Terre, le village d'Erechim est situé à l'ultime frontière, là où la civilisation prend fin. Mais la « terre promise » devient vite le pire cauchemar de ses habitants : non seulement un propriétaire terrien tout-puissant les terrorise, mais un mystérieux monstre a aussi fait son apparition. Deux mercenaires, Jane et John, sont engagés pour rétablir la paix, mais ils s'attendaient à tout sauf à ça...


La critique ZOO sur l'album Episode 1

Une petite ville pionnière confronté à un défi qui la dépasse ? C’est une affaire pour le duo Jane et John, une fratrie de mercenaires combattant pour le bien. Une série qui retravaille sans y parvenir les codes du Far West avec une pointe de science-fiction.

John et Jane, une femme et un handicapé chasseurs de prime, sont envoyés dans une ville pionnière pour s’attaquer aux mystères qui défient sa tranquillité. Mais avant de traquer le monstre qui terrorise la région, ils doivent affronter d’autres problèmes. Une bande de bandits aux ordres d’un propriétaire sans scrupules et une famille de dégénérés particulièrement violents sont au menu de nos deux héros.


Le scénariste des grandes séries de découverte telles que Terres lointaines nous avait habitué à une autre qualité de récit. Peut-être est-ce parce qu’il voulait s’adresser à des lecteurs plus jeunes ? Il n’en reste pas moins que cette série apparaît comme un mauvais remake des westerns de notre enfance. Le méchant à la tête d’une bande de bandits règne sur des animaux extra-terrestres ressemblant fort à des vaches et une bête mystérieuse sans grand intérêt. On n’attend pas vraiment la suite avec impatience.

Le trait d’Icar est, lui, toujours aussi agréable à voir, les dessins fluides et la colorisation, du même auteur, s’adapte bien à l’ensemble. Mais cela ne suffit pas à sauver cette BD où les chevaux sont maladroitement remplacés par des motos aux allures de Harley et où le décor nouveau monde ne convainc pas un lecteur exigeant.

En visant les lecteurs à partir de douze ans, les auteurs d’Ultime frontière ont créé une BD qui ressemble plus à un ersatz commercial qu’au début d’une grande aventure.

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