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Undertaker - T6 : Salvaje : Carnet de Storyboards

couverture de l'album Salvaje : Carnet de Storyboards

Série : UndertakerTome : 6/7Éditeur : Dargaud

Scénario : Caroline Delabie, Xavier Dorison, Ralph MeyerDessin : Ralph Meyer

Genres : Aventure, Historique, Récit de vie, Western

Public : À partir de 12 ans

Prix : 20.50€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Salvaje : Carnet de Storyboards

Carnet de storyboards contenant, entre autres, les crayonnés du sixième tome. 


La critique ZOO sur l'album Salvaje : Carnet de Storyboards

La première partie de ce 3ème diptyque voyait Jonas Crow se soumettre à l’odieux chantage de son vieil ami Sid Beauchamp, qui, en ramenant la dépouille de Caleb Barclay à Joséphine, sa mère, espère devenir son époux et du coup, l’homme le plus riche de Tucson. Xavier Dorison et Ralph Meyer ne ménagent pas leur héros, plongé dans une situation inextricable, un récit plein de bruit et de fureur qui nous tient en haleine jusqu’à la dernière page.

Pour sauver la mise à Salvaje, la veuve de Caleb et la mère de leur fils Chato ainsi que celle du vieux guerrier Kenitei, Jonas doit faire croire à Joséphine Barclay que son fils a été tué par balles alors que c’est Sid Beauchamp qui l’a sciemment empoisonné. Or il s’avère que celle-ci en sait finalement beaucoup plus sur les circonstances de la mort de Caleb que Sid peine tant à vouloir lui cacher.


Sid Beauchamp ne s'était pas bien comporté dans le tome précédent...

Sid Beauchamp ne s'était pas bien comporté dans le tome précédent...
© Dargaud 2021 Dorison/Meyer


Pour la première fois dans cette série, Xavier Dorison aborde la question indienne et, tout en restant plutôt classique sur les rapports entre la communauté blanche et les guerriers apaches, il parvient à échafauder une intrigue portée par des personnages au caractère bien tranché. La palme revient bien sûr au personnage féminin Salvaje, guerrière impétueuse et terriblement lucide sur l’avenir de son peuple et celui de son fils qu’elle a élevé dans un même esprit de résistance à l’homme blanc. L’histoire s’achève dans un véritable bain de sang que n’aurait pas renié un Sam Peckinpah ou un Robert Aldrich au cinéma.

Superbement servi par le dessin de Ralph Meyer et les couleurs de Caroline Delabie, tout amateur de westerns en conviendra, Undertaker est devenu une série incontournable. Et, bonne nouvelle, Jonas Crow va sans doute tenter de retrouver Rose Prairie, qu’il n’a pas su retenir lors de leur séparation dans le diptyque précédent.


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