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Dead body road

couverture de l'album Dead body road

Éditeur : Delcourt

Scénario : Justin JordanDessin : Matteo ScaleraColoriste : Moreno Dinisio

Encreur : Moreno Dinisio

Collection : Contrebande

Genres : Comics

Public : Tout public

Prix : 15.95€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    2.5

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du comics Dead body road

Orson Gage a une mission : assassiner tous ceux, sans exception, qui sont impliqués dans la mort de sa femme. Sa route le mène tout droit en Enfer. Mais Orson Gage s’en fout. Il n’a plus rien à perdre. Entre courses de voitures, meurtres, fusillades et action non-stop, rien ne l’arrêtera dans sa quête de vengeance ultime.


La critique ZOO sur l'album Dead body road

Orson Gage, ancien flic corrompu, part traquer ceux qui ont assassiné sa femme pour leur faire subir le même sort. Course-poursuite à toute allure pour ce comics qui nous plonge dans un polar noir, dont le principal atout est le graphisme magnifique de Matteo Scalera.

Un cambriolage tourne mal : plusieurs flics morts, un associé trouillard prend la fuite avec le magot et une bande de gangster à la peau aussi dure que leurs manières... Pas de chance, la femme de Gage figure parmi les victimes. Ancien flic viré pour une affaire de détournement d'argent, celui-ci se retrouve sans rien à perdre, un flingue à la main et la rage au ventre. La traque peut commencer...

Dead Body Road, c'est une histoire de vengeance à l'ancienne : des flics pourris, des malfrats qui font peur, un chef de gang en costard et sans pitié, une jeune tarée prête à tout pour venger son mec et même un psychopathe qui passait par là. Si vous n'avez pas encore compris que vous êtes dans un polar noir, c'est que vous n'y mettez pas du vôtre. Le récit est au final assez court et on parvient jusqu'à la fin sans problèmes, mais on ne gardera pas en mémoire bien longtemps cette histoire que l'on a l'impression d'avoir déjà vue ou lue quelque part.

En revanche on se souviendra sans aucun doute des illustrations de Matteo Scalera, que l'on a déjà croisé dans le beau Black Science. Ce sont elles qui tiennent le récit de bout en bout, grâce à une énergie et une capacité à retranscrire le mouvement indéniables, sans compter le trait des personnages, fin et agréable. L'utilisation des hachures et des projetés d'encre donnent une patine au dessin et les couleurs de Dinisio finissent de poser l'ambiance sombre. Un illustrateur à suivre de près...


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