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Au-delà de Neptune

couverture de l'album Au-delà de Neptune

Éditeur : Steinkis

Auteur : Traducteur : Julien Brugeas

Collection : Aux confins

Genres : Science-Fiction

Prix : 24.00€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du comics Au-delà de Neptune

L'objectif n'est pas de voir plus loin, mais de voir mieux. Grâce au programme odyssée, nous allons explorer des planètes inconnues, trouver de nouveaux matériaux et découvrir des sources d'énergie durable inédites. A bord de l'ulysse, le téléscope spatial, la présence d'astronautes sera indispensable. Là-haut, ce ne sont pas de robots dont nous aurons besoin, ce sera d'être humains. Nous avons besoin de créativité.


Au-delà de Neptune

Seule dans l’espace, portée par l’espoir et hantée par ses souvenirs, Leila scrute l’infini. Ce premier opus de la collection « Aux Confins » de Steinkis nous propose une première œuvre intimiste d’un jeune auteur italien.

Leila, astronaute à bord du télescope spatial Ulysse, mène la mission Terra Incognita, un projet de longue haleine dont elle est l’unique membre. Cela fait désormais 784 jours qu’elle explore les confins de l’orbite neptunienne. Plongées en immersion profonde, relevés méthodiques, transmissions régulières : tout semble sous contrôle. Mais sous cette discipline se cache une quête bien plus vaste — celle d’un refuge, peut-être même d’un avenir pour l’humanité.

Extrait de

Extrait de " Au-delà de Neptune "
© Steinkis, 2025 - Gabriele Melegari

Avec « Aux Confins », son nouveau label consacré à la fiction étrangère, Steinkis s’ouvre aux imaginaires d’ailleurs. Et pour cette première publication, l’éditeur choisit un récit tout en délicatesse, écrit par Gabriele Melegari et traduit de l’italien. Le ton est intimiste, l’approche introspective. Lela n’est pas une héroïne triomphante ; elle est une femme en fuite, une exploratrice de l’espace autant que de ses propres abîmes. L’amour perdu de Béa, les souvenirs qui refont surface, les visions troublantes… peu à peu, la solitude fissure ses certitudes. Ce premier album questionne notre monde actuel avec la montée des pics de chaleur et l’avenir angoissant

Ce récit trouve son origine dans un événement scientifique marquant : la toute première image d’un trou noir, capturée en 2019 par un réseau de radiotélescopes. De cette source d’inspiration naît un univers graphique saisissant. Les scènes spatiales, baignées d’un noir profond, évoquent à la fois vertige et fascination. Le trait, travaillé à la gouache, confère à l’ensemble une texture organique qui fait vibrer chaque page d’un souffle mystérieux.

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