ZOO
couverture de l'album

Série : DoggyBagsTome : 9/17Éditeur : Ankama

Scénario : Hasteda, Aurélien Ducoudray, RunDessin : Jedebaï, Philippe Auger, Run

Collection : Label 619

Genres : Comics

Public : À partir de 16 ans

Prix : 13.90€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.5

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs3.0
    1 note pour 0 critique

Le synopsis du comics

Une des 3 histoires du DoggyBags #5 fait son retour en version longue et non censurée !
Les 3 actes de ce DoggyBags se passent donc dans le parc d’attractions le plus gore et macabre des États-Unis. Les zombies sont toujours de la partie, plus affamés que jamais…
Prêt pour une nouvelle visite guidée du Patriot Park ?!


La critique ZOO

DoggyBags revient dans une formule un peu spéciale pour ce neuvième volume qui pose ses valises dans un pays où la démesure n’a d’égale que l’appât du gain : les Etats-Unis d’Amérique. Epidémie, zombies et nationalisme américain sont les maitres mots de cet album 100% à la sauce DoggyBags.

Imaginez un monde où une pandémie peuplant le monde de zombies soit devenue une activité à la fois ludique et lucrative. Imaginez un parc d’attraction où tout bon citoyen américain pourrait venir montrer son patriotisme une arme à la main. Imaginez Patriotic Park !

Epargnés par leur statut insulaire, les Etats-Unis parviennent à éviter la contamination totale du pays d’une infection transformant les personnes en zombies. Ce qui n’est pas le cas de leurs voisins européens, complètement submergés. Afin de remonter le moral des troupes, le milliardaire texan Rupoch Murder crée un parc d’attraction retraçant les plus grandes batailles de l’histoire américaine grandeur nature. Mais plutôt que de simples automates, il se sert de sujets encore infectés comme cibles pour les nombreux Américains venus déverser leur haine et exprimer leur patriotisme.

Né dans le cinquième volume de DoggyBags sous la plume de Run et Aurélien Ducoudray ce concept de parc d’attraction pour nationalistes méritait bien un album entier pour se développer. À la manière d’un cadavre exquis, trois binômes se succèdent pour offrir trois histoires qui forment ainsi un récit complet. Un choix judicieux qui n’enlève rien à la cohérence de l’histoire ni à la spécificité des DoggyBags qui offrent à leurs lecteurs une certaine diversité tant au niveau du style que du graphisme.

Encore un album réussi pour DoggyBags qui reste fidèle à ses premières amours, le trash, l’horreur et le sang, mais n’oublie jamais de se renouveler et de surprendre. Frissons garantis.


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